2016/07/24

***Liberté, égalité, choucroute ***


"C'est pas l'homme qui prend la mer,
c'est la mer qui prend l'homme ..."
Renaud


L'homme se dit:
"Je suis né à tel endroit, dans tel ville, village, de telle famille, dans telle tribu, près de tel café mais loin de tel autre, donc je suis un élément de ce tout et je possède en moi les caractéristiques de cette société."
L'homme a besoin de se sentir le maillon d'une chaîne qui lui donne son identité car il a soif avant tout de se regarder dans la glace en se disant:
"Je suis celui-ci qui est ceci et non cet autre qui est cela".


A l'inverse de l'aigle, dont il orne avec délices sa mythologie, il ressemble bien au mouton qui n'existe que parce qu'il fait partie d'un troupeau qui, au sortir de sa bergerie, à l'aube alors que les étoiles sont à peine estompées par le jour naissant, court sous ce grand arbre qui lui donnera son ombre quand l'astre du jour sera au zénith.

La question métaphysique que l'on délègue volontiers aux ermites ou aux académiciens reste en vérité au centre de chaque individu car elle est le fondement de toute vie humaine. Cependant, une fois résolue, et ce de la manière la plus aisée et la moins coûteuse possible, elle est reléguée entre la semelle et la plante du pied car, s'il faut bien s'appuyer sur quelque chose, c'est pour mieux l'oublier dans la pratique.

Il ne fait aucun doute que le sentiment d'appartenance à un groupe est un besoin vital qui, comme la choucroute, doit être suffisamment relevé sans pour autant offenser la digestion. Si les hommes n'étaient pas confinés sur terre de par leur nature et la force de gravité, on pourrait imaginer des planètes composées de masses humaines se promenant dans l'espace, agglutinées selon leurs croyances, se croisant en s'apostrophant de loin en loin et rejetant parfois les éléments incompris ou dérangeants leurs unités qui deviendraient des météorites naviguant à l'écart des planètes humaines dans le vide interplanétaire.
Une fois que l'homme s'est donné son la, il se sent libre d'agir comme lui semble bon tout en défendant à l'occasion de toutes ses forces l'apparence qu'il croit posséder parce qu'il se l'est attribué tout seul comme un grand, apparence sociale et non physique s'entend. Alors, tout ce qui ne lui est pas semblable est étranger et tout ce qui lui est étranger est méprisable.

~


(Pépètes au soleil )

Mais cette appartenance à sa propre planète humaine n'empêche pas l'homme d'épouser ou de rejeter ce qui lui plait ou le dérange dans son propre individu, pourtant façonné selon les prémisses généraux de son appartenance à une tribu humaine déterminée, en sorte que chaque homme, se croyant un aigle, préside à sa destinée en incorporant ou en arrachant des morceaux de lui-même qu'il considère utile ou inutile selon les circonstances.

Le résultat de ce processus d'identification général et de rejet ou d'appropriation  circonstanciés est un monde divisé à l'infini où l'individualité ressort à l'opposé de ce qu'elle devrait être. En effet, au lieu que chaque homme devienne le développement harmonieux de ses caractéristiques uniques et fondamentales, et devienne par le développement de ses qualités propres le complément de son prochain, l'individualité n'est par la force de l'absurde qu'un pot pourri des mêmes recettes se confrontant sans cesse et s'opposant pour des qualités absurdes et imaginaires puisées dans le grand fourre-tout des croyances mythiques de sociétés primitives quoiqu'elle se disent évoluées.

On assiste donc sans se poser la moindre question, 
et ce depuis que l'homme existe, à quelques exceptions près 
à ce fait que 

c'est la société qui fait l'homme 
alors que c'est l'inverse qui devrait être vrai. 

De ce fait donc, les individus sont en quelque sorte moulés d'avance alors qu'ils devraient au contraire engendrer une société qui reflète leur image. Ainsi obtenons nous des individus qui n'en ont que l'apparence et qui ne sont que des clones du modèle social prévalent, et, de là, des sociétés qui se perpétuent à l'identique dans leurs fondements quoique la forme diffère selon les lieux et les époques.


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Antoine de Saint Exupéry, "Le petit prince"
(NB ... re-lire le premier post de ce blog, 6 ans déja !!)


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"– Ah ! Maximilien, dis-je en lui serrant la main avec force,
que vous êtes bon ! »

– 185 –

Ces paroles parurent faire sur lui une vive impression. Il
fronça les sourcils, se démena dans son fauteuil et murmura d’un ton boudeur :


« Non, je ne suis pas bon… je suis juste, voilà tout !… La société des hommes, au milieu de laquelle je suis contraint de vivre, a causé à ce malheureux un immense dommage… Je me considère comme responsable, dans une certaine mesure, de cette faute collective… et je tâche de la réparer selon mes moyens. Mon action est bien simple, en vérité, et je m’étonne qu’elle provoque chez vous un tel élan d’admiration !…
D’ailleurs je possède plus d’argent, beaucoup plus qu’il ne m’en faut pour vivre. Je n’ai aucun mérite, ce me semble, à me défaire d’un objet qui m’est absolument inutile !… »


En entendant cette déclaration faite d’un ton brusque, je ne pus m’empêcher de sourire. Vous savez que les médecins, observateurs par profession, finissent par acquérir une sûreté de coup d’oeil qui leur permet de sonder les maux de l’âme aussi profondément que ceux du corps.
Il me semblait qu’à ce moment Maximilien manquait un peu de cette franche sincérité, qui fut de tout temps le signe distinctif et, en même temps, l’honneur des Alcestes. Évidemment il forçait sa nature et tenait un langage que son coeur devait démentir.
Ce n’était pas ainsi qu’il parlait un mois auparavant. Alors sa parole était amère, froide, incisive. On sentait que son âme était ulcérée dans ses plus profonds replis, qu’il méprisait l’humanité pour ses vices, ses erreurs, et enveloppait tous ses semblables dans la « haine vigoureuse » qui grondait au fond de son coeur.
Maintenant, son ton était forcé, déclamatoire.
En l’entendant, je me rappelais involontairement un mauvais acteur de province, qui, jouant Le Misanthrope, enflait ses joues et bourrait de coups de poing et
de coups de pied les meubles de la scène. En vain, Maximilien Heller, obéissant à ce petit sentiment d’amour-propre dont les natures les mieux trempées subissent elles-mêmes le joug étroit, essayait-il de me dissimuler la révolution intime qui s’était faite en lui ; en vain voulut-il


– 186 –

paraître avoir conservé, dans toute sa rudesse, ce premier aspect sombre et sceptique sous lequel il m’était précédemment apparu : son jeu ne put me tromper. Des
souffrances, des malheurs que je ne connaissais point, peut-être quelque grande injustice dont il avait été la victime, avaient jadis versé dans son âme le poison de la haine et du désespoir. Mais, grâce à Dieu, ce poison venait de trouver son antidote !
Comment, en face de l’oeuvre glorieuse et consolante qu’il
venait d’accomplir, pouvait-il douter de la générosité de
l’homme ? Comment, en présence du succès dont Dieu avait récompensé ses nobles efforts, aurait-il méconnu la puissance et la bonté de la Providence ?


Il est une loi psychologique à laquelle tous les hommes sont soumis, qui nous incline à juger l’univers d’après le monde restreint où nous vivons, et nous porte à contempler nos semblables
à travers le prisme de nos propres vertus et de nos propres défauts. Nous avons les regards constamment fixés sur ce miroir secret renfermé dans notre âme, et c’est en considérant notre
image qui s’y reflète que nous prenons une idée de l’image des autres.


Eh bien ! Il était évident pour moi qu’en se voyant si grand, si noble, si beau dans le miroir de son coeur, Maximilien était contraint de se réconcilier avec les hommes et avec Dieu.
En s’élevant à ses propres yeux, il avait élevé, du même coup, l’humanité tout entière."


Henry Cauvain, "Maximilien Heller"





2016/07/22

!!!!!!!! MERCI L'AFRIQUE !!!!!!!!



Pauvres blancs qui vous croyez des hommes, des êtres évolués.

Heureusement pour l'humanité qu'il reste sur terre des africains.

Des noirs qui sont encore au 21ème siècle considérés comme des bêtes.

Qui s'entassent sur des radeaux de la méduse pour ne pas mourir de faim et de coups dans leur propre pays et qui s'exilent avec un rêve illusoire au coeur,
celui de rejoindre le monde des blancs ...

Pauvres blancs qui avez inventé la poudre et la fusion mais qui ne savent plus qui vous êtes ...

Merci Fatoumata Diawara, 
Merci Alpha Blondy,
Merci James Brown,
Merci Oumou Sangaré,
Merci Gregory, Mahalia, Ella ...

Merci vous tous qui dans votre misère êtes resté les plus grands musiciens du monde,
qui souriez du fond de votre ghetto dont l'horreur surpasse en durée celui des juifs,
MERCI


Merci à vous autres hommes véritables qui ne vous prenez que pour ce que vous êtes,
des hommes,
des créatures faites pour vivre et partager la vie, la joie de vivre, l'amour de vivre
et qui,
Comme Ray Charles chantez, chantez juste, avec rythme et coeur,
avec vos âmes d'hommes,
qui nous rappellent qu'il suffit de partager, d'aimer, de vivre pour être,

car, Descartes a tout faut, Platon a tout faut, 
tous les blancs ont tout faut ...

J'AIME DONC JE SUIS




Hear & Watch :



Eh !! Vous connaissez tous l'histoire du curé et du chauffeur de taxi ??
Un curé et un chauffeur de taxi arrivent devant Saint Pierre qui leur demande ce qu'ils ont fait de bien dans leur vie ...
Le curé répond qu'il a sans cesse menacé ses ouailles de l'enfer s'ils ne faisaient pas de bonnes actions et que ceux-ci ne sortaient de son église que repentants et contrits, sur quoi Saint Pierre l'envoie au purgatoire. Le chauffeur de taxi, lui, dit qu'il racontait à ses clients des blagues tout au long du chemin et qu'ils ne sortaient de son taxi qu'en riant ce qui lui valut l'entrée du paradis ...

Dieu ???
C'est la Vie.
La vie ???
C'est l'amour, et son partage.
Rien d'autre n'existe,
ici et ailleurs,
maintenant et toujours.

Quant aux blancs, il y en avait encore quelques uns au dix neuvième siècle, des romanciers, des curés, pas celui de l'histoire ci-dessus, des ouvriers et des paysans ...

Et quant aux noirs, nous leurs avons tout pris, sans rien leur donner en échange sauf quelques paroles illusoires et de nombreux préjugés. L'Islam en particulier fait un carnage en Afrique noire, succédant aux blancs.

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Ici, en Grèce près de Kranidi où je me trouve depuis quelques mois, mon voisin est un Africain.
De Guinée Conakry.
Il s'appelle Camara. Il est d'une famille musulmane.
Etant l’aîné, il a eu la chance, ou la malchance d'aller à l'école.
Son père l'avait envoyé en Egypte pour compléter ses études à 18 ans ...
Il en a 47, et il est toujours étudiant, dans sa tête !
A 26 ans, il voulut aller en France mais il n'avait pas l'argent alors, on lui avait dit d'aller  en Grèce ramasser des oranges pour faire des sous, et ça fait 20 ans qu'il est ici et qu'il traîne sa misère ...
Il est de la tribu des Soussous, a renoncé à l'Islam et s'est fait baptiser. Il rentrerait bien en Guinée mais,
il n'a plus de passeport et sa famille qui est restée musulmane le considère comme un traître !!
Quelle histoire !!!
Il voudrait être traducteur, parle français, anglais, arabe, guinéen et grec, mais tout ça approximativement,
Et le temps passe et passe ...

Il m'a dit que, outre les tensions et les guerres, le problème principal de l'Afrique est que tout s'y fait à la main, comme de toute éternité. Pas de machines, excepté celles que les Occidentaux et les Chinois ont amenées pour leur propre compte. Pas d'électricité, pas d'eau courante mais des antennes relais pour le téléphone sans fil qui absorbe toute la faible richesse des jeunes.

must read:
http://www.pravdareport.com/history/03-08-2016/135213-africa-0/

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"Le grenier avait été cédé de bonne grâce à un propriétaire
qui serrait là son foin et son avoine. Je veux
dire qu'on les serrait pour lui car ce pauvre Aristide
était si bête, au dire de ma mère, qu'il n'avait jamais
su rien faire de ses dix doigts.
En deux mots, c'était un âne, une âne à quatre
pattes, l'âne de ma mère et après moi ce qu'elle avait
de plus précieux au monde. Aristide était son gagne pain,
son compagnon de voyage; il aurait été le confident
de ses peines si elle avait eu des peines: mais
elle avait trop de,courage et de bon sens pour s'inquiéter
ou s'affliger de rien.
C'est Aristide qui traînait la voiture car ma mère
avait une voiture, comme une duchesse, et la conduisait
elle-même a la foire. Ce n'était pas un carrosse,
oh non, ni une calèche découverte, ni un
four-in-hand, ni un huit ressorts c'était une bonne
carriole bien solide où ma mère qui faisait tous les
commerces honnêtes, depuis le bonnet de coton jusqu'aux
clous et aux fers à cheval, avait l'habitude
d'entasser sa marchandise.
La carriole n'avait que deux roues, ma mère marchait
à côté d'Aristide dans la montée et tricotait en
disant de bonnes paroles pour l'encourager. Vers le
haut de la côte, elle tirait de sa poche un morceau
de sucre et le lui montrait. Aristide qui ne manquait
pas d'esprit pour son âge, car il avait quatorze ans
déjà, faisait un dernier effort surmontait le dernier
obstacle et tirait voluptueusement la langue où ma
mère y déposait le sucre. Il fermait les yeux pendant
une minute pour mieux savourer son bonheur.
Après quoi, l'on se remettait en marche; dans les
descentes, ma mère s'asseyait sur le derrière de la
carriole pour faire contre-poids.
Oh ! comme ils s'entendaient bien, elle et lui, et
que le philosophe avait raison, qui dit que l'âne est
un frère inférieur de l'homme. Si j'osais, je
dirais un frère supérieur car il est meilleur, plus
honnête, plus sobre, plus patient,plus robuste, plus
doux et souvent plus courageux. Que lui manque-t-il
donc ? L'intelligence ? Qui sait ? Il n'entend pas le
latin, c'est vrai, et même, à cause de cela on décore
du nom d'ânes, dans les collèges, ceux qui ne peuvent
pas lire Senèque à livre ouvert. Eh bien après ?
En sont-ils plus malheureux ?
Aristide savait tout ce qu'il faut savoir; qu'on doit
aimer ses amis, cogner ses ennemis (comme il fit le
jour on le petit Carbeyrou, ayant attaché un fagot
d'épines sous sa queue, il lui cassa trois dents d'une
ruade), respecter le bien d'autrui, honorer les puissants, 
c'est-à-dire se ranger sur le passage de la diligence,
de peur d'être accroché, braire galamment
à la vue des bourriques, ce qui est un hommage à
leur beauté, traîner une carriole pesamment chargée;
faire enfin tout ce qui concernait son état, et par ce
moyen avoir du foin, de l'avoine et des chardons en 
abondance.
En savez-vous tous autant, chrétiens qui m'écoutez
?

(A. Assolant, Hyacinthe)



2016/07/03

Milice Française









Vous savez ce que c'est la "Milice Française" ?????
Gonna tell you soon bs"D.

et c'est pas une mais deux cartes
que des salauds ont affichés:







Ouais,
Vous savez c'est quoi la "Milice Française" ????

C'est les fils du diable qui ont envoyé mon grand-père et ma grand-mère à Auschwicz.


C'est les français qui pissent dans leur froc quand on leur met une glace devant les yeux,
parce que ce sont les paumés de la terre, les larves de l'humanité qui ont besoin de dire Amen
à une autorité, quelle qu'elle soit, mais violente, injuste & malpropre si possible,
car là,
alors là,
on est prêt à se faire hacher en mille pour elle.

Ta race ! il y a des pourris partout, mais là, c'est pas des pourris, c'est des grands blonds à la chaussure bleue, comme l'océan, parce que se croire supérieur, ça fait bander, peu importe si ce sont en réalité des petits roux bancals ...

Comme dit Marley, tant qu'il y aura des hommes pour se croire d'une race supérieure,
il y aura des tyrans qui se serviront de ces molécules batardes pour boire quand tous ont soif.

Commissariat de Givors, MERCI. MERCI !!!! Merci de nous rappeler que vous n'êtes pas morts avec la lie Nazie et que vous croyez toujours à la Swastika, oui, merci de nous rappeler à la Réalité :)


......................>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>

http://france3-regions.francetvinfo.fr/rhone-alpes/givors-la-police-enquete-sur-l-affichage-de-cartes-de-la-milice-francaise-au-commissariat-1039077.html

http://actu.orange.fr/france/des-cartes-de-la-milice-francaise-affichees-dans-le-commissariat-de-givors-CNT000000qJsvH.html

http://tempsreel.nouvelobs.com/en-direct/a-chaud/24718-police-cartes-milice-francaise-affichees-commissariat.html

https://www.rt.com/news/350603-bulgaria-nato-black-sea-force/

etcetera !


Le monde est ainsi (mal) fait que ce sont les coincés du cul qui dirigent car ils donnent leur support à ceux qui montrent qu'ils ont des couilles, belle histoire !!
et, comme ils sont la majorité,
CQFD

(see that: https://jonrappoport.wordpress.com/2016/07/12/part-4-what-is-the-matrix-2/)


Look ... This is Paolo, self employed man. Whether you ask him about French people, he'll tell you that: "They are 'comme-ci comme ça' "

En Italie, les français sont suspects, suspects de n'être pas ce qu'ils montrent, ce qu'ils prétendent, et pour cause !!



Et BRAVO le Portugal !!!


"Réveillon, le fabricant de papiers peints, le type de cette ambitieuse bourgeoisie qui voulait succéder à la noblesse, mais qui ne voulait pas que le peuple succédât à la bourgeoisie.
Ce Réveillon, dit-il, est un aristocrate pire que ceux de la noblesse; il n'a pas les vices des nobles, qui faisaient vivre le peuple, et il a les vertus des bourgeois, c'est-à-dire la lésinerie, la surveillance, la défiance, barrières que le tiers-état sait jeter entre lui et la démocratie.
L'ennemi le plus cruel du peuple aujourd'hui, c'est le bourgeois. Le bourgeois aidera le peuple à saper les trônes, à briser les armoiries, à brûler les parchemins ; plus grand que le peuple, c'est lui qui montera sur les escabeaux pour gratter les fleurs de lys, et écraser les perles des couronnes; mais, quand il aura détruit, il réédifiera : les blasons du noble, ôtés au noble, il se les appliquera; il transformera en armoiries les enseignes de ses boutiques : le lion rouge deviendra de gueules ! la croix blanche sera la croix d'argent !

A la place de l'aristocratie, de la noblesse et de la royauté, poussera la bourgeoisie ; le bourgeois se fera aristocrate, le bourgeois se fera noble, le bourgeois se fera roi."

(Dumas, Capendu ou Soulié ...)

---- armoiries du bourgeois ... Coca Cola, CAT, etc ... got it ????


VIVE DIEU !!!
Et la nature, Son prophète ...

(My God ! Ni Mohammed, ni Jésus, ni qui que ce soit mais Ses oeuvres qui témoignent non-stop, et nous autres, pauvres hères, qui pouvons aussi témoigner, mais, c'est si simple, trop simple, n'est pas messsssssssieurs les jurés ?)