2013/01/29

GIBRALTAR - PHOTOS






Photos taken from a room of the Mirador hotel, Algeciras, Spain, June 2012

Aimez-Vous les Cerises ?




Le courage, l'espoir, c'est bien beau mais comme on mène tous une vie d'esclave, ça abrutit, et la lumière au bout du tunnel paraît si loin, si faible qu'on a tendance à la voir plus distante qu'une étoile, surtout en comparaison des projecteurs étincelants du théâtre mondial. Quelle persévérance ne faut-il pas, quelle constance pour ne pas tomber dans les bras de la 'civilisation', du 'progrès', de 'l'avenir' ? Et vraiment, qu'y avons nous gagné à cette ribambelle de 'civilisations' de la guerre et du profit ? Certainement pas le bonheur, ça se saurait ! Si 'l'avenir' doit ressembler au passé ... hem, hem !!

Faudra t-il toujours que l'homme s'invente des fables, cherche des prétextes pour faire le bien ? Combien de siècles et de génocides pour qu'il cesse de renier la bonté de sa nature, pour qu'il cesse de voir la compassion comme une maladie, la gentillesse comme une faiblesse, la fidélité comme un tombeau ?
Faudra t-il toujours ignorer notre propre sort, marcher dans les sillons abreuvés du sang de nos pères ? Ne doit-il pas venir un moment où la bête dégénérée qu'on appelle "homme" devra se regarder dans la glace et cesser ses abominations, individuelles et collectives ?
Assez de se voir spectateur de sa propre misère et de fermer les yeux !!
Mais les ouvrir sur quoi ? et comment ?



La clef de voûte doit être connue avant la construction de l'édifice, et en ce qui concerne l'humanité, c'est l'humilité, envers soi et les autres. Ne pas se considérer comme l'unique 'maître' de ses oeuvres, ne pas rêver de le devenir, ne pas voir en l'autre un ennemi mais un compagnon, pas un obstacle mais une aide, précieuse, indispensable. Chaque homme qui avance dans cette voie le fait non seulement pour lui mais pour tous. La vie est un partage dont chacun profite, consciemment et à son insu. L'évolution est collective, plus encore dans la ville que dans la jungle, seulement, on refuse de s'en apercevoir, de tendre la main, et en s'isolant, l'homme se condamne à rire seul en se moquant du vaisseau humain dont il s'est exclu par égoïsme, par vanité, par peur, par manque de confiance, par ignorance.

L'humilité envers soi commence par reconnaître quel merveilleux animal nous avons la chance d'être, indépendamment des facultés comme de l'apparence individuelle. Il est nécessaire aussi de comprendre que nous évoluons tous et chacun en commun avec la création, avec l'univers dont nous, les enfants, sommes capables d'y prospérer  en harmonie où d'y dépérir comme un microbe qui s'est tellement spécialisé qu'il ne trouve plus d'hôte à dévaster.



Nous ne faisons rien tout seul, et rien ne se fera sans tous. La destinée est collective avant que d'être individuelle. Et s'il y a eu de tous temps des individus bons et savants - savants de justice, la population humaine est, du haut en bas, restée égoïste  attachée à la réussite dans le contexte le plus matériel possible et par les moyens les plus bas, la tromperie, l'abus, le mépris. L'ignorance volontaire de la majorité qui se satisfait d'une vie dont le moindre animal ne voudrait pas est le principal handicap à l'évolution collective, à la libération des chaines avec lesquelles les peuples s'attachent eux-mêmes, génération après génération.

Napoléon et Chateaubriand*, deux opposés, se sont estimés, ils regardaient en haut sans voiler leurs regards sur la réalité. L'humanité avancera par tous ses membres ou restera un zombie sous perfusion. Il faut que le niveau moyen de l'homme s'élève, globalement. Aucun scénario, aucun projet ne remplacera l'éveil de tous et de toutes, l'apprentissage aux enfants de la nature, de la nature humaine, le respect de la famille, le partage, l'amour, l'amour de la vie, des autres. Quoi de plus beau, de plus joyeux que d'offrir, de donner de soi, de créer ces fontaines d'eau pure qui étanchent toutes les soifs, qui reposent de toutes les fatigues, de créer ces liens indestructibles et immortels d'amour et d'amitié, ces fils de soie invisibles qui relient tous les êtres vivants, qui sont la réalité cachée de l'existence. Aimez-vous les cerises ?

*'Les morts vont vite' A.Dumas


2013/01/26

Le Gras de la 'Vie'


L'Amérique est devenue ce qu'était la Russie communiste. Un pays sous surveillance, un état à couches multiples, une industrie inadaptée, une population anesthésiée aux énormes écarts de fortune, misère rampante, gâchis énorme, individualisme exacerbé, peur à l'école, au foyer, avenir vide. Il paraît que Kissinger ou un autre l'avait prédit. Aisé. Mais grâce à qui ? A la chair à canon, au ventre de la nation, aux lunettes noires, à cette majorité qui se trompe elle-même tant qu'elle peut s'assurer une certaine médiocrité quotidienne. C'est le boulet de l'humanité. Cette chaîne qui s'appelle 'laisser-faire' a à un bout le "make believe", faire croire, et à l'autre le vice, la corruption, le mal.

 L'homme a besoin de croire mais peu importe en quoi. C'est son miroir sans tain où il peut regarder sans se voir ni être vu, c'est son apparence, intérieure comme extérieure, c'est son décor de cinéma qui lui permet de faire ce que bon lui semble tout en restant ce qu'il s'est donné de paraître. L'homme a besoin de sentir sa conscience, comme n'importe quel autre sens, mais il lui importe peu d'adhérer à ses réactions, pourvu qu'il y en ait. Avoir raison ou avoir tort n'est pas son premier souci. L'homme veut avant tout faire 'quelque chose' de sa vie, de préférence 'quelque chose' qui lui assure le bien-être matériel le plus grand possible, le reste vient loin derrière.

Les grandes idées qui pourrait-on croire dirigent l'humanité ne font que la lester de leurs illusions, illusions acceptées avec enthousiasme, érigées en savoir obligatoire, gravées dans les âmes de génération en génération. De même que Shimon Perès reparaît de dix ans en dix ans, la révolte pour la liberté, la guerre pour la patrie, le respect des 'autres' ont de réguliers soubresauts, le ventre s'échauffe, la tête se remplit, l'adrénaline se répand, on dresse une guillotine, puis le ballon reprend sa forme, la vie continue, fleuve tranquille aux berges élastiques, roseau qui plie mais ne romps pas, la panse, le bide, le gras de la 'vie', c'est du lard ou du cochon ? Bon appétit, bonne nuit, beaux rêves, à demain pour la même chose.




Ni plus ni moins qu'à Naples au 19° siècle, le véritable maître du monde n'est pas Murat, ni les Espagnols, ni les chefs de milices, ni même Saint Janvier, celui qui seul tient le cordon de la guillotine, c'est l'Opinion. Et que dit l'Opinion ?





Soldes : 1 Illusion Gratuite pour 1 Achetée !!



Un premier cours de philosophie commence généralement par : " pour commencer à apprendre, il faut savoir qu'on ne sait pas", il faut comprendre que la plupart des choses qu'on sait ne sont que des opinions à la sauce Martin et non de véritables connaissances qu'on saurait expliquer, approfondir et appliquer ; il faut accepter son ignorance, être humble.

Mais, ce qu'on omet de dire aussi, c'est que les philosophes grecs à qui on se réfère avaient un côté très 'pratique' de leurs théories, théories qui seules sont restées depuis l'époque où elles furent remise au jour, la Renaissance. Car, jusqu'à Montaigne, la philosophie conserva ce côté pratique, expérimental, et l'idée que le corps influe sur l'esprit, et inversement, n'était pas combattue à coup de tranquillisants mais utilisée pour expérimenter des réflexions, ou pour terrifier les peuples.

La philosophie des lumières jusqu'à la philosophie contemporaine ont gardé cette division et ont fini d'extirper de leur domaine le côté expérimental, laissant à la psychologie, sociologie et autres logos ce qui ne devrait avoir à faire qu'avec le ‘sophia’, la sagesse, donc, l'expérience, la vie. La sagesse est un "savoir-être heureux", la philosophie une science du bonheur appliqué’.(*) La principale dégénérescence de l'homme est de dissocier pensée et pratique. Penser noir et agir blanc est la principale conséquence de ce drame de l'humanité.

Si bien sûr, le mensonge n'est pas une invention des Lumières, sa justification officielle l'est. Encore faut-il ajouter que les diverses 'religions' ont apporté leurs eaux au moulin de la falsification de l'âme. Casuistique, talmudisme, mahométisme, je ne connais pas les autres mais il est à supposer que toutes probablement jouent à 'l'arrangeur' de conscience, à la mise en scène de paradis et de diables, et ce sont des matrix d'autant plus puissantes qu'elles ne sont plus secrètes, que leur mottos sont devenus le pain quotidien, leurs illusions réalité, le mensonge vérité.

Or, si il y a à peine 200 ans, un 'aristocrate' était seul juge de sa liberté à respecter sa parole, la société, européenne du 19° siècle, hésitait encore à manquer à la sienne. La réputation, l'honneur, la fidélité étaient des vertus qu'on hésitait à transgresser, en public comme en privé. Un individu, une famille étaient vite mis à l'écart si ils transgressaient ces règles sociales qui, tout en admettant les ‘excentriques’ ne tolérait pas les manquements à l'authenticité de l'homme vis à vis de son principal devoir d'être humain, l'honnêteté, le respect, la justice. 

Hospitalité, aide, partage, tolérance ne sont pas des qualités actuelles bien qu'on en parle beaucoup, beaucoup trop. Et cela comme nous l'avons vu du fait de la dissociation entre le savoir et la pratique. Comme dirait Montaigne: "mieux vaut une tête bien faite que bien pleine", encore plus si cette tête est capable de vivre dans un tonneau pour mieux réfléchir, comme Diogène qui put dire à Alexandre le Grand : « Otes-toi de mon soleil ».



"Pleust à Dieu qu'un chascun sceust aussi certainement sa généalogie, depuis l'arche de Noé jusques à cest âge. Je pense que plusieurs sont aujourd'hui empereurs, rois, ducs, princes et papes en la terre, lesquels sont descendus de quelques porteurs de rogatons et de coustrets. Comme au rebours plusieurs sont gueux de l'hostière, souffreteux et misérables, lesquels  sont descendus de sang et ligne de grands rois et empereurs ; attendu l'admirable transport des règnes et empires :
Des Assyriens, és Mèdes,
Des Mèdes, és Perses,
Des Perses, és Macédones,
Des Macédones, és Romains,
Des Romains, és Grecs,
Des Grecs, és François.
Et pour vous donner à entendre de moi qui parle, je cuide que soie descendu de quelque riche roi, ou prince, au temps jadis : car onques ne vistes homme qui eust plus affection d'estre roi et riche que moi, affin de faire grand' chère, pas ne travailler, poinct ne me soucier, et bien enrichir mes amis, et touts genls de bien et de sçavoir. Mais en ce je me réconforte , qu'en l'aultre monde je le serai : voire plus grand que de présent ne l'oseroie soubhaiter. Vous en telle ou meilleure pensée réconfortez vostre malheur ,
et buvez frais si faire se peult".
François Rabelais




2013/01/23

Trop de Blabla


Certains mots ne veulent plus rien dire, sionisme, par exemple. Soit dans la bouche de certains, il représente la tradition multi-millénaire des juifs exilés espérant un retour à Sion, soit il signifie rien de moins que nazisme. Que croire ? Un peu les deux, mon capitaine, mais pas pour les raisons couramment citées de côté et d'autre.

Non vraiment, je ne vais pas plaindre les arabes palestiniens qui sont les moins malheureux du monde Arabe, excepté une poignée de cheikhs à pétrodollars, et certains arabes émigrés en occident, la plupart sont soit des exilés, soit des gens misérablement traités dans la totalité de leurs propres pays. Si Israel à un lien avec le nazisme, ce n'est pas la bonne adresse quoiqu'il y ait bien des abus, mais tant aussi envers les israéliens eux-mêmes, bref.

Il vaut mieux observer comment les dirigeants de l'état, et ce depuis avant sa création même, s'obstinent à 'faire des juifs', à formater ceux qui les intéressent et à euthanasier les autres. Et oui, j'ai bien écrit euthanasie, oh bien sur, pas des vivants, mais des 'à vivre', la contraception forcée. Depuis les moyen chimiques des années 50, savons anti-poux, depuis les moyens radiologiques des années 60 aux vaccins et au Depo-Provera actuel, ACTUEL, l'état d'Israel a sérieusement modifié l'évolution de son apparence par des moyens qui ne devraient pas exister, qui ne devraient jamais exister, mais qui existent !!

Depuis les préparatifs de l'état, durant la guerre, Juifs sépharades, juifs traditionels, qu'ils aient été Alsaciens, Marocains, ou Yéménites et combien d'autres, jusqu'à nos jours avec les juifs Ethiopiens, Israel devrait comparaître pour crimes contre l'humanité, mais son image est celle d'un jeune pays technologique où tous les juifs du monde se retrouvent, juifs à peau blanche et lunettes bleues. Alors, combien on se vante de rapatrier des presque juifs, par humanité au moins, par génétique au pire, combien on sur médiatise les "opérations" de sauvetage, Moise, Salomon ...

Fenêtre sur cour.

Israel est bien ce havre idéalisé du pays des juifs, mais, au delà du fait qu'il l'est plus pour certains juifs que pour d'autres, il ne l'est qu'en y payant l'impôt, impôt très matériel auquel la dîme et la gabelle n'ont rien à envier, Israel est un pays de soldats, 100% des hommes, et des femmes ont servi 'leur' état 2 à 3 ans et restent mobilisables leur vie entière. Israel a une haute technologie en grande partie militaire, Israel est le premier pays du monde en ventes d'armes par habitant, Israel est une démocratie militariste, une dictature déguisée non moins sanglante que les USA, l'Angleterre, la France ou le Japon.

La même puissance qui a vaincu Hitler avait auparavant vaincu Napoléon, c'est celle qui enfante des monstres pour pouvoir se glorifier de les avoir détruits, celle qui créera bientôt des martiens pour mieux asservir les terriens, c'est celle qui fait naître des évènements en leurs faisant prendre un sens 'naturel', ce sont des esprits élevés mais retords qui s'allient pour diriger le chariot du pouvoir par dessous, où qu'il soit, partout et toujours. Israel, par ceux qui le dirige (et par ceux-ci qui 'portent' ceux-là au pouvoir) fait parti de la tête de ces 'illuminés', de ces traîtres à l'humanité politiquement, économiquement et religieusement.

Et tous ces gens là, en plus d'être des traîtres au Dieu d'Abraham (Créateur) sont des traîtres au Dieu de Moise (Libérateur), ils se prétendent juifs alors qu'ils en sont l'opposé, ils sont aussi des traîtres à l'humanité en faisant passer pour juif ce qui ne l'est pas. Ces triples traîtres qui, en Israel nous dirigent et qui participent aux puissances supra-étatiques qui entraînent l'humanité à sa perte, ces personnages qui méritent plus que la guillotine, ces triste sires méritent d'être décrété hors la loi, trempés dans du goudron et des plumes et envoyés sur Mars.

Seulement, pour élever la voix, il faudrait un peuple ... Avis à tous les 'peuples': "Tous debout pour Danette !!" Qui veut un pays de lait et de miel ? Ah, déjà trop tard ? Cocktail d'OGM, d'antibiotiques, d'hormones, de radiations, selon les endroits, pour le lait, et les abeilles, ça décline sec. Il faut absolument arrêter ces fous volontaires sous peine d'y passer tous bientôt. Nuages de pollution en Chine, de radiations du Japon aux USA et à l'hémisphère nord, de gaz dans une usine type 'Seveso' de Rouen à Londres, pas de frontières à l'hécatombe en cours et à venir que ce soit par la chimie minérale ou organique,l'énergie atomique ou électromagnétique.








Démocratie: se diviser pour agir ensemble, ordo ab chaos, l'union des perdants, les illusions qui créent leur réalité, des hors-la-Loi qui inventent des lois.
Car il est Une Loi, une grande et belle Loi, universelle, infinie, intemporelle, oui, cela Est, et tout ce qui sort de cette Loi n'Est pas. Il n'y a pas plusieurs façons d'Etre, on Est ou on n'Est pas, et pour Etre, il faut d'abord tenir l'Etre de ce qui Est, et ensuite continuer à Etre en participant en permanence autant que se peut à ce qui Est. Tout ce qui ne participe pas à ce qui Est n'Est pas, c'est si simple ...

Faut-il développer ?

Le Tsaddik et le Veston

Il y a une chose qui m'a toujours épaté chez les américains, les anglo-saxons, les africains, les japonais, les gaulois ... c'est la facilité avec laquelle ils se prennent volontier pour les premiers de la classe, jusqu'à l'absurde. Quelles comédies ferait aujourd'hui Monsieur Molière !! Il est vrai que nous avons Eddie Murphy et Jamel Debouze. 

Il n'y a rien de plus ridicule qu'un algérien en veston, un dimanche matin gris et humide, faisant la queue à la boulangerie boulevard Barbès, ou un noir en chemise blanche et pantalon à plis à la sortie du prêche, le même dimanche matin à Port au Prince, mais celui qui a créé le veston, l'anglais de Peter O'Schnock Castle, se garderait bien de mettre un veston un dimanche matin, n'est-ce pas ? Qui est le plus déguisé ?? L'Arabe, le Noir ou le Roux ??? Ah, c'est de l'Hébreu ! Alors, dans le texte, 'est-il plus difficile d'être Tsaddik fils de Tsaddik ou Tsaddik fils de Racha*' ? 

Et bien, contrairement à la vénérée tradition talmudique, je soutiens que le fils de Racha a plus de mal à être un Tsaddik. Les 'maîtres' du Talmud considérent qu'il est dur à un Tsaddik de dépasser son maître et que, se trouvant confronté à un défi de haut niveau, il sera d'autant plus dur de ne pas se décourager, se déconcentrer, et reculer. Chaque pas d'un fils de Tsaddik est un pas de fourmi alors que chaque pas d'un fils de Racha est un pas de géant. Peut-être, vu de loin, mais pour celui qui est concerné, l'effort n'est pas le même et, s'il est identique en valeur, il ne l'est pas en nature. 

Car le Tsaddik fils de Racha a double travail. Il doit en même temps se séparer d'une nature pesante qui lui colle à la peau alors qu'il lui faut accéder à l'autre. Encore faut-il vouloir être Tsaddik, mais, même pour ceux qui se contentent de créer des vestons pour ne pas les mettre le dimanche matin, ceux-là savent mieux que les autres de quoi sont fait ces vestons, de la misère des paysans des Shetlands ou des bergers des collines irlandaises. Mieux vaut mille fois être ridicule sans le savoir que de ne pas l'être en sachant pourquoi.

* Tsaddik et Racha ont tous deux une majuscule, parce qu'ils ont tous deux un fils, mais, surtout, parce qu'il y a pire, celui qui n'est ni Tsaddik, ni Racha, celui qui dis Amen tant au Tsaddik qu'au Racha, selon son 'intérêt', celui qui "n'Est Pas", "A Voté."

2013/01/21

La Course ou la Vie


L'humanité s'est plus transformée durant les derniers deux cent ans que dans les vingt millénaires qui ont précédé. Cette transformation a un nom: l'industrialisation. On peut distinguer deux phases: le 19° siècle qui est la mise en place et le vingtième, l'accélération, cette course folle de la puissance et du pouvoir qui a fait de l'homme un hamster pédalant dans sa roue toujours plus vite.



Paris - Marseille: en 1800 = une semaine en diligence; en 1900 = 24 heures et en 2000 = 3 heures en train, ou 1 en avion. Au 19° siècle, le machinisme n'avait pas encore 'dominé' l'homme. Les machines étaient grosses, lourdes, peu puissantes, elles attiraient l'homme plutôt qu'elles ne le propulsaient, elles rendaient service mais on n'était pas au leur ou très peu, de l'extérieur, la vie courante en dehors de l'usine, de l'atelier n'avait pas encore changé. Ce fut l'époque de la technologie 'civile', l'époque de la construction des ponts.
Mais, au 20° siècle, le machinisme, l'outil à qui il fallait de l'espace pour peu de rendement est monté en puissance tout en réduisant sa taille, il devient portable, et on construit des tunnels, les canons deviennent mobiles, avions, voitures révolutionnent le monde et en cent ans à peine, la puissance économique et militaire est devenue irrésistible à l'échelle planétaire, la conception de l'humanité devient mondiale et indissociable du nouveau monde machiniste, c'est la course ou la vie.

L'industrie, la consommation, la technologie ont pris la première place, l'industrie civile du 19° siècle a pris au 20° un caractère militaire avec ses objectifs, ses plans de campagnes, ses espions, ses marches et contremarches, ses capitaines, ses généraux, et leurs mentors, intellectuels et financiers, ses tyrans pour rire et les autres. Mais, si on peut tirer une conclusion de cette évolution sur la 'fabrique' de la société humaine, et on s'en rend compte facilement en lisant les romanciers du 19° siècle, c'est la disparition de la famille, ce noyau de l'équilibre fragile de tous les liens de la vie qu'elle seule assure, tant bien que mal mais exclusivement, de ce bloc primitif et indispensable à toute cohésion sociale, au bonheur et à la paix dans l'humanité.



La technologie, l'exode des campagnes, et la ville, surpeuplée dès son origine, la vie coupée de la terre, du lieu, de l'endroit, la vie artificielle, urbaine, coupée des saisons, des heures, mais toujours à l'heure, à son heure, changeante au gré du vent de l'intérêt économique, du délire civilisateur à la mode, se moquant de tout et de soi, tourbillon effréné sans masse et sans but, voici ce qui a tué la famille, sans même évoquer les menées avouées ou occultes des 'puissants' dans ce sens, et qui n'y sont pas pour rien, loin de là - voir Henri Makow.

Mais au-delà des conditions, bien qu'en grande partie à cause d'elles, ce qui tue la famille, l'origine de la zizanie est la perte de l'espoir, du courage d'espérer. Parce que le monde moderne n'est pas ce que l'on aurait voulu, parce que nul n'ose dorénavant espérer que la tendance s'inverse, du nord au sud et de l'est à l'ouest. Le pouvoir qui mène le Titanic mondial paraît trop absolu pour aller à l'envers de ses intérêts tyranniques, l'espoir est au fond de l'Atlantique.

Espérer, c'est avoir du courage, avec un but !! Supprimer le but, remplacez-le par des artifices, trempez-le dans l'huile, créez des myriades de bulles scintillantes, bye bye Gush Katif, nobody here, Yes Sir. Oui, car le but est collectif et sa racine est la famille, et le monde moderne favorise l'individu, l'individualisme jusqu'au sein de la famille. Ce qui avait porté le monde jusqu'au 20° siècle, c'était cet espoir, ce courage, les 'vertus familiales'.  Même si elles n'étaient pas ce qu'elles auraient dû, elles n'étaient pas discutées, c'était une norme acceptée par tous, sans remise en cause possible. Les écarts étaient ce qu'ils étaient, des écarts.

Tant que la famille et ses valeurs ne revivront pas, aucune société humaine ne peut espérer échapper au carrousel infernal de la 'civilisation' moderne. La famille est la source de l'espoir, elle est aussi le réservoir de courage de la société, des peuples. Environ 43% des morts sur terre sont des avortements (43 M / 57 M). Excepté pour quelques peuplades anciennes, 100% des peuples sont des gouvernés, des esclaves. La force est la loi comme elle l'a été depuis toujours. Il y a des lois pour gérer le 'désordre' et d'autres pour fixer l'ordre ...

Or, les seules lois universelles sont celles de la famille. Ce sont les familles qui sont les noyaux, les nœuds, les cellules d’où partent et où arrivent la vie, elles sont le lien entre le passé et l’avenir, le présent du monde, sa permanence, son existence. Il n’y a pas de société humaine sans familles, sans ces molécules du tissu social. Le peuple juif n’était pas destiné à devenir autre chose que douze tribus, nées de quatre femmes différentes, dont deux servantes, et cette origine familiale n’est pas pour rien dans sa longévité à travers les siècles et aussi dans les persécutions qu’il a endurées. Eugène Sue, dans sa saga ‘hugolienne’ des Mystères du Peuple retrace l’histoire d’une famille celte qui, pareillement, a traversé les siècles en conservant son identité, les Lebrenn.

Tout part de la famille, la réussite et l’échec, l’épanouissement ou la déchéance, le bien et le mal. La famille est l’Arbre de Vie de l’humanité et le déclin de sa ‘santé’ devrait avoir sur l’homme l’effet du canari dans la mine de charbon. Les deux principaux acteurs de la chute rapide à laquelle nous assistons depuis un siècle sont ‘naturels’ et voulus, ce sont le ‘modernisme’ et l’eugénisme. Machinisme, chauvinisme, urbanisme, machisme, idiotisme … forment le côté ‘naturel’ ; ce sont les raisons de la passivité des victimes de la chute. A l’opposé, capitalisme, consumérisme, féminisme, marxisme, satanisme … forment les outils de guerre sociale avec lesquels s’amusent les individus et les groupes sociaux qui sont au pouvoir ou qui espèrent l’avoir en gravitant autour comme des particules hallucinées au bord d’un trou noir.




2013/01/18

ROLAND ALPHONSO & Studio One






LISTEN on YOUTUBE

**** ****

Studio One And Coxsone Dodd: The Cradle Of Reggae


    The 1950's ... MUST SEE !!!

GREGORY ISAACS



THE BORDER

If i could reach the border
Then I would step across
So please take me to the border
No matter what’s the cost
Cause I’m leaving here

I'mma leaving out of Babylon
I'mma leaving out of Rome
I'mma leaving out of this land
This place could never be our home
Say we wan we wan go home

Say we wan we wan go home
Yes we wan we wan go home
Where the milk and honey flow
Thats where we want to go
AFRICA we want to go
Where the milk and honey flow

This place could never be my home…
we waan we waan go home…
where the milk and honey flow
That’s where we want to go…

we waan we waan go home…
Africa we want to go…
So please take me to the border
and i will pay the cost
coz i’m leaving here…





Gregory Isaacs - Live At Brixton Academy, 1984 (FULL CONCERT)





Gregory Isaacs, The Cool Ruler









2013/01/17

SPEAK TO ME



S'il y a quelque chose à dire sur la Shoah.
                S'il y a quelque chose à dire sur ce Génocide,
                               Qui peut être dit sur d'autres mais peut-être sur celui-ci en particulier,


(parce que si des autres on ne parle pas, ce qui est un crime,
et même si c'est en partie parce que celui-là est sur-médiatisé, ce qui est un crime aussi,
et bien c'est celui-là, justement qui, étant accusé de n'avoir pas eu lieu, c'est celui-là qui est mis en doute, celui-là qu'on ose relativiser, dénier, et, quelle que soit la raison ou la déraison qui entraîne une telle accusation, c'est justifier; avant même la 'criminalisation' d'un peuple, c'est la négation de la mort de ces êtres humains qui ne sont pas revenu des camps nazis, quel qu'en ait été leur nombre, c'est la justification de leurs bourreaux, c'est la pesée d'un crime contre l'humanité car, quand on ne refuse pas l’inacceptable sans exception en sa totalité, on l'accepte.)

C'est que certaines personnes, certains individus, hommes ou femmes, petits ou grands, ont
Décidé
de ne
PLUS
en
PARLER.
De tirer un trait, OVERLOAD, OVERDOSE, OVER, BASTA, FINNISH.

Faut-il dire Pourquoi ?
Faut-il vraiment expliquer Pourquoi ??
Il est une chose pire que tout, c'est de tenter à expliquer certaines choses, c'est quelque part s'en rendre complice, au plus profond de soi, d'une façon incorruptible.

Parce que, parce que ... mais faut-il le DIre !!!!

Parce que, quand on survit à "ça", on préfèrerait peut-être n'avoir pas survécu.

Y a t-il, et ce depuis des millénaires, depuis que l'homme existe, parce que, parce que ...
Et en ceci peut-être l'homme est-il différent des animaux, il peut faire du mal ...
 Pour Faire du Mal.
Bref,. Donc, ces hommes et ces femmes, ces enfants, ces mères, ces pères, ces filles et ces fils, ces grand-pères, ces grand-mères, ces arrière Grands,
Tous ceux et toutes celles qui ont 'vécu' "ça", qui ont enduré "ça", et bien, ce sont Eux, et pas nous qui l'avons subit.
Et ceci est vrai pour tous ceux qui l'ont subit, hiers et qui, Aujourd'hui encore le subissent, pour tous ceux qui ont approché,
De près et même de loin cette inimaginable profondeur du mal qu'est capable de faire ...
un homme,
et dans une exceptionnellement moindre mesure une femme,
Et bien ces personnes ont expérimenté la brûlure d'un fer rouge au sang, au coeur, à l'âme.




Que faut-il dire, comme le demande Saint Ex, que dire, que penser, que croire ?
Quelle réponse apporter, s'il se doit, à cette folie, ce gouffre noir ...
Cette absence de Conscience,
Individuelle ET Collective,
Quelle est la "Nature Humaine" ?
Qui suis-je ?
Pourrais-je être ... "ça" ?

                ET ...
C'est quoi,
                                               "ça" ???

WHO are YOU ?
Qui êtes-vous, mon ombre, car je ne suis pas « ça » !
Donc, ce sont « d’autres », donc, il Existe des « autres » ??
Qui* sont ces « autres » ???
Did you ask yourself ?
Did I ask Myself ??

* 

2013/01/15

L'Univers, le Cerveau et Internet ont un Même Type de Structure et de Développement

"Les ensembles de causalité sont une approche de la gravité quantique dans laquelle la structure causale de l'espace-temps joue un rôle fondamental. Un ensemble de causalité est un réseau quantique qui sous-tend le tissu de l'espace-temps.

Les nœuds de ce réseau sont des infimes quantas de l'espace-temps, deux de ces quantas étant liés s'ils sont en relation causale. Nous démontrons ici que la structure de ces réseaux dans l'espace-temps de De Sitter, comme l'accélèration de l'univers, est remarquablement similaire à la structure des réseaux complexes, le cerveau ou Internet, par exemple.

Spéciquement, nous montrons que la répartition de degrés de noeud d'ensembles de causalité dans l'espace-temps de De Sitter se décrit par une loi de puissance avec un exposant 2, similaire à de nombreux réseaux complexes. En quantifiant les différences entre la structure d'ensemble de causalité dans l'espace-temps de De Sitter et dans l'univers réel, nous constatons que, puisque l'univers est aujourd'hui relativement jeune, l'exposant de la loi de puissance n'est pas 2, mais 3/4; seulement, l'exposant 2 est en train d'émerger. Enfin, nous montrons que, comme une conséquence de la dualité géométrique simple, la dynamique de croissance des réseaux complexes et des ensembles causal de  de Sitter sont asymptotiquement identiques.

Ces résultats suggèrent que, de façon inattendue, des mécanismes similaires pourraient modeler la structure à grande échelle et la dynamique des systèmes complexes, aussi différents que le cerveau, l'Internet, et de l'univers."


Selon une nouvelle étude, la structure de l’univers est assez similaire à la structure et à la conception d’autres grands réseaux complexes, comme les cerveaux humains et l’Internet.

Cela ne veut pas dire que les cerveaux et l’univers suivent une sorte de schéma directeur, mais plutôt que les règles qui sous-tendent les structures de ces choses complexes peuvent être comprises/appréhendées de la même façon.

Ce qui est intéressant, c’est que cela suggère une sorte de règle universelle ou un système de lois contrôlant les grands systèmes. La science des réseaux démêle ces règles et essaye de prédire ou de contrôler le comportement des réseaux complexes.

Selon Dmitri Krioukov, coauteur de cette novelle étude (lien plus as), qui a été publiée par la Cooperative Association for Internet Data Analysis (CAIDA) au San Diego Supercomputer Center (SDSC ) à l’Université de Californie à San Diego :

En aucun cas, ne nous prétendons que l’univers soit un cerveau global ou un ordinateur. Mais l’équivalence découverte entre la croissance de l’univers et des réseaux complexes suggère fortement et de manière inattendue que des lois similaires régissent la dynamique de ces systèmes complexes et très différents.

Il n’est pas possible de simuler l’infini, alors les chercheurs ont supposé que l’univers est vraiment gigantesque, pour appliquer une estimation, ils se sont dit qu’il représenterait au moins 10 250 atomes d’espace et de temps (un 1 suivi de 250 zéros) ce qui est déjà assez important. Il a été ramené à une taille plus gérable et mis dans un supercalculateur nommé Trestles. Celui-ci a utilisé ces données pour effectuer des simulations détaillées du réseau causal de l’univers et les informaticiens ont réussi à le faire en un jour. Sans les opérations réalisées en parallèle et une programmation créative, ce calcul aurait pris trois ou quatre ans, selon le SDSC.

Le résultat est un graphique qui ressemble beaucoup aux visualisations représentant d’autres réseaux complexes, comme l’Internet, les réseaux sociaux et les réseaux biologiques.

D’après le directeur du SDSC, Michael Norman :

Qui aurait pu deviner que l’émergence de l’espace-temps quadridimensionnel de notre univers à partir du vide quantique aurait quelque chose à voir avec la croissance de l’Internet ? La causalité est au cœur des deux, alors peut-être que l’on doit désormais s’attendre à cette similitude constatée par Krioukov.

Cette similitude de structure n’est probablement pas une coïncidence, disent les chercheurs. Elle pourrait même être une étape vers une nouvelle découverte de certaines règles universelles. Peut-être que les règles sont les mêmes partout, mais il y a certains facteurs limitant, comme la gravité, qui modifient la taille et les résultats éventuels.

Source: Gurumed

                                        Infiniment Petit                                                          Infiniment Grand

Je rajouterais bien une troisième image 'intermédiaire' à l'échelle terrestre :

Vue Satellite Infrarouge (NASA)


Rien ne Va Plus


Il est plus difficile de survivre dans notre monde moderne et 'civilisé' que dans la jungle.  Là où les dangers venaient de l'extérieur, ils sont désormais inhérents à la société humaine. Il fut un temps, pas très éloigné, où on prenait l'eau à la rivière, la nourriture aux champs et l'amitié au fond des yeux.

Depuis que nous avons 'l'eau courante', celle-ci est pratiquement imbuvable,  saturée qu'elle est de chlore, de fluoride, d’estrogènes ... Depuis que l'alimentation est étalée sur des comptoirs réfrigérés, elle est devenue plus dangereuse que le venin de vipère, imprégnée de conservateurs, de minéraux lourds, d'antibiotiques, la liste est longue. L'homme a survécu aux fléaux naturels durant des millénaires mais il n'est pas certain qu'il passe le cap du modernisme, et ce d'autant plus que les dirigeants de nos sociétés 'évoluées' font tout pour aggraver sans cesse l'esclavage de la civilisation du profit en entraînant l'humanité vers l'immoralité, la dépendance et la solitude morale.


Il n'y a plus de dialogue entre les hommes ni même à l'intérieur des familles, pour ce qu'il en reste. Chacun "marche seul" enfermé dans sa coquille, isolé dans sa boite aux reflets dorés. Les hommes ont perdu l'élan du coeur les uns pour les autres. La sympathie n'est plus à la mode, le sourire est une question d'intérêt et le rire est confiné à l'âge tendre où aux jeux du cirque. Les peuples qui eux n'ont pas eu la 'chance' de devenir 'civilisés' sont probablement les seuls en qui repose désormais l'espoir de 'l'homo-savant', cette misérable larve à apparence humaine incapable de se faire à manger, de sortir de chez lui sans un engin motorisé ou d'y rester sans une machine à image ou à paroles pour le 'divertir', pauvre Martin !!

L'Afrique par exemple, les Africains sont considérés comme l'échec de l'humanité civilisée. Incapables de développer des technologies, des institutions, des lois autres que les lois tribales, ils sont les pauvres de la terre 'moderne', en apparence ... Seulement, quand vous y avancez le pied, vous n'y êtes plus seuls, vous n'y êtes plus inconnu, vous n'y êtes plus un numéro parmi d'autres. Tout à coup, on vous regarde, on vous parle, on vous pose des questions et on vous raconte des histoires, on vous joue de la musique, on vous invite à danser, sans arrière pensée, qui que vous soyez, sans raison, parce que, parce que vous êtes là.



Les pays les plus heureux sont-ils les plus pauvres, comme l'indique une étude récente ? Peut-être pas, mais ils ne sont certainement pas les plus malheureux. Si l'égalité, la liberté, ... ne sont pas affichés à la porte d'entrée de la mairie, ils existent en réalité et tout le monde vit. Si celui qui à le plus faim mange le premier, il laisse pourtant sa place aux autres alors qu'ici, même s'il en reste, personne ne l'aura qui ne peut payer. Les vrai pauvres sont les pauvres d'esprit, non pas les idiots mais les égoïstes qui s'imaginent avoir des droits qu'ils refusent aux autres. La vraie richesse est de ne pas se considérer plus qu'un autre. Quelle que soit la raison qui  pourrait vous pousser à ce méchant calcul, la vie n'est pas une échelle où certain seraient en haut et d'autres en bas.


L'avenir de l'humanité n'est pas dans la société fondée sur la compétition, la concurrence et le profit; l'avenir de l'homme n'est pas plus dans l'occident moderne qu'il n'a été dans la Rome antique. L'espoir de l'homme est en ceux qui ont conservé les valeurs naturelles qui ont fait de nous des homo-sapiens, les descendants de la grande évolution naturelle de laquelle nous tenons véritablement les qualités humaines réelles, la richesse véridique des populations, l'amitié, le partage, le respect, la joie d'être ensemble, le rire des jeux innocents, tout ce qui fait que nous sommes des animaux évolués et non pas des machines savantes et froides, des inconnus se dévisageant avec haine ou envie, se côtoyant sans pitié ni passion, comme ça m'arrive tous les jours dès que je me risque dans la jungle urbaine à l'air nauséabond et aux regards perfides.

Solidaire dans la misère ou solitaire dans l'abondance, 
l'homme est-il capable de sortir de ce funeste dilemne ??

"Bavolet était l'enfant de la cour. Madame Marguerite - de Navarre - avait été, de son propre aveu,
son maître d'école, de dessein, d'escrime et de beau langage; le roi lui avait enseigné la vénerie
et l'agriculture, Nancy lui avait appris certains travaux d'aiguille et de broderies."

Pierre Alexis Ponson du Terrail