2013/08/21

Le Dieu de la Liberté, le SEUL !!



« ‘Que Je sois pour toi’  ‘Celui Qui Suis ’ ton Dieu,
Qui t'ai fait sortir du pays d'Egypte d'une maison d'esclavage:
tu n'auras point d’autres dieux, devant Ma Face. »*

Quand on pose à l’improviste la question à un Juif religieux de dire quel est le premier commandement, la réponse est en général : ‘Je suis l’Eternel ton Dieu’ – ‘Anoch’i Hachem Eloéch’a’.  J’avais appris d’un Rav qu’on ne doit pas utiliser de diminutif pour les noms qui ont un rapport avec l’histoire de Dieu telle qu’elle est rapportée dans la Torah, l’exemple étant Jérusalem, couramment abrégé par les Juifs français en ‘Jéru’, et cela même si le mot d’origine en Hébreu est différent.  Si donc il peut paraître important de ne pas raccourcir un simple nom, qu’en est-il d’un passage de la Torah et en l’occurrence de celui qui est probablement le plus important de tous !  Dans l’exemple cité, les raisons d’une telle abréviation sont pratiques, ça va plus vite, où familières : ‘on est du coin’, mais, en ce qui concerne le commandement, même si on peut évoquer des motifs similaires à première vue, ce raccourci révèle cependant une incompréhension fondamentale du texte car, si ce premier commandement avait été compris dans toute son importance et ses conséquences, nul ne s’aviserait de le tronquer ainsi quel que puisse être le motif.

Le premier commandement a trois parties comme toute bonne démonstration, les racines, le tronc et les branches. Il ne peut être expliqué qu’en considération de l’histoire de la naissance du peuple Juif. Dieu S’est révélé comme le Créateur de tout ce qui existe, de l’univers, des cieux et de la terre. Puis, Il Se choisit des hommes à qui Il octroie la mission de fonder un peuple qui Le représente au sein de l’humanité afin de prouver par l’exemple qu’Il est non seulement le Dieu de la création mais aussi Celui des hommes qui, voyant la beauté et la perfection de ce peuple ne pourraient pas le nier.

Malheureusement, ce peuple n’a jamais compris de quoi Dieu voulait parler et, non content de faire sans cesse le contraire de ce qui aurait pu lui assurer le bonheur et la prospérité, le peuple Juif a fini par donner l’exemple inverse en devenant le principal destructeur de la volonté première du Dieu qui l’avait créé. Mais nous reviendrons sur ce point et voyons d’abord en quoi le premier commandement a bien l’importance de son rang !

La première partie n’est pas un ordre mais une demande qui est expliquée dans la seconde partie et dont la troisième est la conclusion logique. Dieu ne dit pas: ‘Je suis ton Dieu parce que …’ mais ‘Que je sois ton Dieu parce que…’**. Dieu souhaite une approbation réfléchie, une compréhension de ce qu’Il affirme, une collaboration active et non une soumission passive. La dernière partie est l’aboutissement naturel qui veut que l’homme soit à même de ne pas mettre sa foi dans tout autre force supérieure qu’il lui plairait de prendre pour un Dieu parce qu’il a compris et approuvé la raison de son choix.


Mais, ce qui nous importe avant TOUT est le centre. Quel est le dieu qui met comme ‘condition’ de sa réalité le fait d’avoir tiré un peuple d’esclavage ?? Il n’y a que Lui. Si les hommes ont fait de Jésus un dieu de la liberté individuelle, ni plus ni moins que Bouddha où n’importe quelle secte ésotérique, si les arabes ont fait de Mahomet le héros d’un peuple destiné à conquérir le monde, il n’y a que le Dieu d’Adam, d’Abraham et de Moise Qui a rêvé la liberté du peuple - et de l’humanité entière - qui Le connaîtrait, qui Le respecterait et qui L’aimerait pour une raison si simple autant que fondamentale : vivre libre ! 

(nb: Il n'y a pas de liberté individuelle sans liberté collective)


* Exode 20/2 : traduction littérale
** Rav S.R. Hirsh Commentaire du Pentateuque T2 p422


Maintenant, pourquoi Dieu sépare la tyrannie de Pharaon en deux parties: "du pays d'Egypte, d'une maison d'esclavage" ?

Parce qu'il s'agit d'une double forme d'esclavage, matérielle et spirituelle, physique ET morale. Le "pays d'Egypte" représente l'esclavage dans sa forme, spécifique au lieu et au temps alors que la "maison d'esclavage" fait allusion à l'esprit d'asservissement sans paramètres temporels. Dans toute tyrannie, il y a un aspect 'local', immanent, et un autre éternel qui tient à la soumission de l'homme aux forces du mal. L'un ne va pas sans l'autre et l'homme ne peut se soustraire à l'un sans se délivrer de l'autre. 
L'exemple de la tyrannie égyptienne est ainsi une leçon universelle qui signifie aussi qu'il ne suffit pas de quitter l'esclavage en un lieu pour se retrouver libre mais qu'il faut aussi extirper l'esprit d'esclavage qui, lui, n'est pas uniquement ancré dans le pouvoir du tyran mais aussi dans celui de l'esclave ainsi qu'on le voit par la suite où les Hébreux ayant quitté l'Egypte ne sont pas devenus libre par le fait puisqu'ils regrettent contre toute raison leur passé d'esclave. 

Il faut donc considérer l'esprit d'esclavage, "la maison d'esclavage" comme une fâcheuse et inévitable transmission du mal de l'esprit du tyran à celui de l'esclave, mais c'est là un autre sujet à propos duquel on peut citer entre autre Fenimore Cooper (dans 'L'espion'):

"... car c'est un des fléaux de l'esclavage, que ceux qui en ont été les victimes deviennent incapables d'acquérir les qualités propres à l'homme libre."


Cependant, mon explication pourrait paraître abusive si elle s'arrêtait là car Dieu n'a certes pas besoin d'avoir tiré le peuple Juif d'Egypte pour être reconnu comme Dieu ainsi qu'Il l'avait été sans cela précédemment par Noé, Ytzhak ou Joseph. Il faut donc commenter la dernière partie de ce premier commandement afin d'en extraire tout son sens et l'intégrer ainsi dans l'esprit des neufs autres qui sont des mises en gardes de ce que l'homme doit éviter afin de ne pas (re)tomber dans l'esclavage, l'exil et le néant. 

Dieu conclut donc en disant "Tu n'auras pas d'autre dieux" ce qui est moins un ordre qu'une conséquence de ce qui précède et la solution définitive de la sortie d'esclavage. Après avoir été tiré des griffes de l'esclavage et avoir accepté Dieu comme le seul Dieu capable d'accomplir cette libération, l'unique moyen d'extirper de l'esprit de l'homme la nature d'esclave qu'il a emprunté à sa condition précédente est de se garder d'accorder un pouvoir quelconque à toute glorification en dehors de celle de son Dieu. 

L'homme a un besoin inné de glorification d'une puissance supérieure et ce besoin doit être appliqué à Dieu et à rien d'autre sous peine de reprendre une mentalité d'esclave et de se trouver prêt à devenir de nouveau soumis à tel autre homme qui prétendra connaître une puissance inconnue de soi, avec ou sans raison car le désir de soumission dépasse celui de liberté. Il importe donc de se souvenir de cette leçon fondamentale de Dieu car n'importe quel prestidigitateur à l'exemple des magiciens égyptiens pourra sans cela prendre emprise sur tout un chacun sans aucun remède.

La seule terre à l'horizon qui promet, et tient la liberté individuelle et collective repose dans ce premier commandement qui doit être compris dans son intégralité sans être ni tronqué ni dénaturé.

Voir aussi: Deutéronome 29





2013/06/11

Harmonie Secrète




Les pigeons après avoir tournoyé une dernière fois en groupes serrés ont mis leurs becs sous leurs ailes; les gaies mélodies des buissons ont cessé; à peine un merle passe t-il encore à tire d'ailes au ras des haies. C'est le soir. Les fleurs ont refermé leurs corolles multicolores, certaines même depuis le milieu de l'après-midi; la nature s'endort en un doux murmure pour accueillir la fraicheur du crépuscule et les ombres voilées de la nuit. La nature, cette fée infatigable et prodigue s'endormirait-elle ainsi si elle ne devait se réveiller, plus fraîche et plus abondante que la veille, plus sereine que l'enfant qui vient de naitre ?

La vie commence le soir, dans l'espoir du lendemain. La lumière n'existe que parce qu'elle remplace les ténèbres. Si la nuit n'existait pas, le jour ne pourrait naitre, chaque matin. Quand le nouveau-né sort de l’obscurité, il pousse un premier cri, ni triste ni joyeux, un cri de surprise, le cri de l'univers quand la lumière fut, un cri métaphysique. Quand ses petits yeux s'ouvrent à la lumière et que le Maitre du monde lui dit "vois !", il répond: 'je vois !' Puis, certain de se réveiller à nouveau, il s'endort, en paix, à la chaleur de son unique soleil, le sein de sa mère.

Vient l'automne, la nature s'assoupit, la sève se concentre, les molécules dispersées par les ardentes chaleurs de l'été se regroupent et se consultent, la création passe en dedans après avoir ébloui le dehors de ses formes multiples et de ses couleurs infinies; les branches de tous les arbres se confondent alors en nuances de gris chez les plus grands, de brun rougeâtre dans les taillis et, pour peu qu'un manteau blanc recouvre le tout un beau matin, qui oserait rêver au printemps ? Ce qui resplendit au grand jour est le résultat d'un travail secret, ce qui éclot à la clarté du matin a été préparé dans l'ombre.

Le mystère de la vie est moins sur scène que dans les coulisses. Ce qui devient visible, malgré l'immensité de la création n'est rien en regard de ce qui reste caché. La véritable puissance de la nature n'est ni dans la foudre, ni dans l'ouragan, mais dans la brise légère qui remue à peine le coquelicot sur sa tige velue. La toute-puissance de la vie est dans ce calme paisible, dans ce silence studieux qui parfois se laisse envahir par des émotions aussi fortes que passagères, des emportements formidables mais futiles si on les compare au travail de l'ombre, au labeur invisible et permanent de cette force tranquille qui est l'essence du monde. 


2013/05/31

Les Deux Visages de Dieu


Le premier est celui de Créateur des cieux et de la terre ainsi qu’il est apparu à Adam, Noé et Abraham, de même qu’Il se révèle à tous les peuples du monde qui se donnent la peine de Le chercher quels que soient les noms qu’ils Lui donnent.

 L’univers est fait pour ceux qui le peuplent comme le lit de petit ours convient si parfaitement à Boucle d’Or. Parmi toutes les lois qui gouvernent l’immensité, la plus étonnante est bien celle-ci qui fait correspondre si merveilleusement, si intimement le contenant et le contenu, ce qui semble une gageure incompréhensible aux plus grands esprits de tous les temps, ce qui est cependant un fait accompli dont nul ne saurait douter sans s’exclure par là même de toute raison, de toute sérénité, de tout bon sens.

Dieu en tant que Créateur n’est pas seulement en ce sens un Artiste incomparable mais un Père qui en sus de donner la vie lui procure les moyens de s’épanouir, de se perfectionner, de s’affiner. Qui aurait dit, s’il avait pu exister il y a quelques milliards d’années en ne voyant alentours que de la matière en fusion, des chocs titanesques, des forces grandioses que ces éléments en folie accoucheraient de papillons, de pétales de roses et de sentiments d’amour et de tendresse ? 

Toutes les merveilles du monde que nous avons l’habitude de contempler comme naturelles, auxquelles nous sommes si habituées que nous les considérons comme notre bien, dont nous faisons commerce, dont nous usons et abusons trop souvent sont le résultat d’une évolution si précise des composants originaux qu’il aurait suffi au début de la marche du monde d’une différence de combinaison des éléments primitifs d’un milliard de milliardième, et moins encore, pour que l’univers ne soit qu’un amas de matière morte, qu’une expansion menant au vide total ou une contraction le faisant redevenir un néant plus vite qu’il n’était né.

Les débuts de l’univers qu’on a tendance à considérer comme un chaos n’en ont jamais été un. L’ordre ne peut sortir du désordre, contrairement au moto illuminati mais bien d’un arrangement préconçu des éléments, et ce d’une manière si parfaite que seule une volonté toute puissante a pu présider à ce tour de force inimaginable.

Loin de moi de faire ici un exposé de Créationnisme car je suis loin de considérer que le melon est destiné de par son apparence à être mangé en famille. Cependant, on ne peut s’empêcher de voir dans la précision incommensurable des composants de la création et de la finesse non moins extraordinaire de son aboutissement un sens, un but, une raison, mais bien présomptueux celui qui oserait en donner une explication absolue.

Ce que, par contre, nous sommes en droit de tenter de comprendre et d’expliquer est que la perfection qui a présidé à l’origine ne peut que faire supposer un but plus parfait encore, et que la compréhension que l’homme a de ce fait le rend à même d’y participer et plus encore, le met en devoir d’y contribuer à sa mesure, devoir d’autant plus impératif que l’homme parmi tous les chefs-d'œuvre du monde est le seul qui doit y trouver sa place par sa propre volonté, par nécessité, n’étant pas programmé pour remplir à son insu un maillon de la chaîne naturelle des éléments.

Dans ce but, l’humanité n’est pas orpheline et elle peut compter sur des exemples qui, pour lui apparaître comme secondaires, n’en sont pas moins excellents et fondamentaux, exemples de la nature qui met en œuvre des lois dont la beauté, la précision et la richesse sont une source profonde d’enseignements. C’est en comprenant ces lois et en les acceptant que l’homme peut participer de son plein gré à l’œuvre de la création et accéder ainsi librement parce que volontairement à la connaissance de Dieu.

Cependant, Dieu n’a pas voulu rester caché derrière Sa création et, tout en donnant à l’humanité un moyen naturel de Le trouver, Il a voulu Se faire connaître au milieu des hommes et donner en quelque sorte Son approbation à la recherche de Son existence en éduquant un peuple par des lois plus précises et par des enseignements plus directs que ceux que le genre humain peut découvrir au travers de sa création et par sa seule conscience.

Nul n’est le père de tous sans vouloir être le père de chacun et, comme il faut bien commencer par un seul, Dieu a donc décidé de Se faire connaître à telle époque et en tel lieu qui conviendrait à la compréhension de Son entreprise afin qu’elle puisse naître, exister et se développer dans les meilleures conditions possibles même si la suite de ce projet peut paraître avoir échoué ainsi que nous le verrons.

Le second visage de Dieu est donc une suite d’enseignements dans Sa relation avec un peuple qu’Il s’est choisi et à qui Il a dévoilé des lois pour que l’exemple de ce peuple devienne la preuve de Son existence, de Sa réalité et de la relation qu’Il espère entreprendre avec Sa création et Ses créatures. Mais pourquoi Dieu avait-il besoin de mettre l’homme ‘dans Son camp’ ?

Hors ça, si Dieu est parfait, l’univers n’est que presque parfait. L’équilibre entre les forces d’union et de séparation est instable et il ne fait pas de doute que la pente, quoiqu’ infime et suffisamment temporisée pour que la vie ait pu naître et se développer telle que nous la connaissons, que cette pente ne tende vers l’expansion qui, au cours des prochains milliards d’années, entrainera le tout dans l’obscurité du néant.
La perfection n’est pas dans la création à proprement parler mais dans la part de cette création qui, en ayant conscience de cette recherche suprême, de ce but  ultime, la perfection réside dans ceux qui seront capable de prendre à leur compte cette mission initiée par le Créateur, les êtres humains.

L’homme est le seul être imparfait de toutes les créatures justement parce que c’est à lui de saisir cette occasion de participer au but de la création, de perfectionner l’œuvre de Dieu, avec Son appui certes, mais de son propre chef. Or, comment perfectionner un monde qui est presque parfait ?

Et puis, n’est-il pas bien présomptueux de penser que l’homme imparfait puisse aider Dieu à perfectionner le monde ? La perfection est une gageure, à notre humble niveau. Comme beaucoup de choses, comme Dieu même, elle n’existe que si on la cherche. Et c’est véritablement ce caractère subjectif, quoiqu’il donne lieu à une réalité palpable dans ses résultats, qui fait de ce mythe une réalité plus réelle que la réalité même. L’homme peut se satisfaire de la vie telle qu’elle est, ni bonne ni mauvaise, mais il peut aussi vouloir, et c’est là la clef de ses espérances les plus folles, vouloir dépasser l’apparence limitée et répétitive de son milieu, de sa nature.

La perfection n’existe que tant qu’on la cherche et ce, bien qu’on ne puisse prétendre y arriver jamais. A force de la désirer, de chercher à comprendre ses voies, de tenter de deviner son mode d’emploi, on arrive à marcher dans les pas de Dieu, à ‘devenir parfait comme Dieu est parfait’. Dans cette quête sans cesse renouvelée, aucune pratique ne surpasse une autre, aucun moyen n’est un sésame supérieur à un autre sinon de vouloir en toute honnêteté s’y attacher corps et âme. Action et recueillement, gentillesse et sévérité, il ne s’agit que de connaître le but et d’y conformer ses moyens, lentement mais surement, sans éclat mais sans faille.

Il va de soi que cette route n’est pas un chemin balisé et que chacun doit être à même de la suivre selon ses propres capacités mais en tenant compte de principes établis et c’est là qu’intervient la révélation que Dieu a désiré nous faire connaître en établissant une relation avec une partie de l’humanité afin de fournir une base certaine à ceux qui auraient pu devenir les guides de l’humanité dans sa recherche de la perfection. Car, si l’homme peut déduire de la nature un grand nombre de préceptes afin de se guider dans la vie, ceux-ci sont insuffisants pour dépasser un certain niveau de sagesse et réaliser pleinement les possibilités de la nature humaine, individuellement ET collectivement.

Reprenant cet exposé où nous l’avons commencé, Dieu est accessible à tous de par la grandeur de la création. Seulement, Il est peu d’hommes sur terre qui ont reconnu l’unité de la nature divine, et la majorité ont la mauvaise habitude de préférer les œuvres à l’Ouvrier. Que l’on parle des Egyptiens à l’époque des pyramides, des Grecs qu’ils ont influencés de façons plus apparente mais peut-être moins profonde que les Hindous, des Romains, des Celtes, des Chrétiens, des Chinois et de tous les peuples de la terre, en fait, y compris ceux qui ont probablement précédés ceux que je viens de citer et qui n’ont laissé que des légendes et, ou des monuments colossaux,  des statues de l’Ile de Pâques à celles de Gobekli Tepe (Turquie), du Sphinx pré-pharaonique aux blocs de Baalbek, entre autres, il faut bien se rendre à l’évidence que le Panthéon des dieux est plus fourni que le catalogue de Toy’s rUs.

Et même les religions soi-disant monothéistes regorgent de saints et savants, de légendes et de sectes ce qui tend bien à prouver que l’homme préfère réserver son capital de croyance à une multitude de petits éléments plutôt qu’à se donner tout entier à un grand qui serait probablement moins conciliant, moins accommodant à tous les travers dont il ne semble pas pouvoir se passer. Diviser ses propres croyances pour mieux rester son maître, c’est tout simplement fermer la porte à sa conscience afin de conserver le pouvoir de discréditer telle morale qu’on jugerait par trop néfaste à ses petits intérêts … l’homme préfère rester un enfant quand ça l’arrange de ne pas vouloir être responsable, de ne pas avoir de comptes à rendre à Celui qui aurait le droit de lui en demander. Dans une affaire commerciale, mieux vaut s’adresser au patron qu’à son employé, mais dans une affaire de conscience, mieux vaut avoir recours au soleil ou à la lune, au dragon ou à la fée qu’à un vrai Dieu car, on risque moins de se trouver laid dans le miroir ou on peut toujours dire : « Ah ! Je ne savais pas !! ».

A ce compte, le meilleur exemple est sans conteste celui des Hébreux du temps de Josué qui, n’ayant plus Moise qu’ils considéraient comme un roi, c’est-à-dire leur intermédiaire entre Dieu et leurs fautes voulurent un roi, un vrai, pour la ‘bonne’ raison qu’ils ne se souciaient pas de se faire réprimander pour leurs fautes directement par Dieu, et par la bouche des Prophètes. Mais, ayant obtenu de Dieu, non sans avertissements, réprimandes et désolation un chapelet de rois, les prophètes sont cependant restés parce que, le roi étant le représentant du peuple, le peuple ne se représentant plus lui-même, le roi donc ne pouvait pas être en même temps le représentant de Dieu, il y aurait eu conflit d’intérêts. Le peuple Juif en attribuant la royauté à un monarque l’a fait perdre à Dieu Lui-Même et l’expérience sans exemple qui devait résulter de l’entrée des Juifs en Israël a tourné court de façon on ne peut moins dramatique. Le peuple s’est divisé, s’est exilé et a fini par disparaître tout à fait.

Cependant, il a subsisté quelques traditions, quelques noms de familles et malgré le détournement de la loi de Moïse au profit des rabbins, des prêtres à l’époque, le peuple juif a conservé la conscience de son origine si ce n’est celle de sa destinée qui aurait dû être  celle d’un peuple libre se conformant en tous points aux principes fondamentaux de la Torah qui, en deux mots, enseignent l’unicité de Dieu comme Créateur et comme Principe de vie par le refus de l’esclavage, du profit, de la débauche, de l’orgueil ainsi que du devoir de respect de la nature, de la famille, de la pudeur et de bien d’autres petites choses oubliées avant même d’avoir été comprises ou pratiquées.


Dommage. Mais, sait-on jamais ce que l’homme est capable d’inventer ? Un jour peut-être se glorifiera t-il d’avoir (re)trouvé toutes ces lois par lui-même ? Car, après tout, la moindre des petites lois du Deutéronome vaut infiniment mieux que le million de commentaires qui ont été faits dessus, n’est-ce pas ?? Et ce pour la bonne raison que les lois originales nous donnent des devoirs alors que les commentaires nous donnent des droits, or, qu’est-ce qu’on peut être heureux quand on a fait son devoir alors qu’on est bien orgueilleux d’avoir des droits, mais c’est une autre histoire – dont j’ai parlé un peu précédemment d’ailleurs.

(A SUIVRE)



2013/05/15

L’Inconscient de l’Humanité est Malade


Eh ! de quoi sont faits les hommes ? De petites cabales et de grandes illusions, d’immondes perversités et de ventres affamés d’orgie. Satan a son domaine et l’homme est son valet. Rien ne sert de courir quand la route mène au tombeau éternel. Nul ne trouverait la base si ce n’était bonté de Dieu de l’avoir dessinée à coups de crayons hâtifs qui malheureusement ont été de tous temps enfouis sous des monceaux d’absurdités, des pyramides de folies.

Quoi, l’humanité se glorifie et milles esclaves ‘modernes’ périssent ensevelis sous les ruines d’un immeuble au Bengladesh qui sert à habiller les petits bourgeois de Zurich et d’Amsterdam, 1.5 million d’hommes, de femmes et d’enfants viennent de passer un hiver terrible sous des tentes au nord de la Syrie ravagée par le conflit (80.000 morts 'déjà') entre un dictateur ‘moderne’ et des ‘rebelles’ armés par les puissances sans noms de Wall Street et du quai d’Orsay, des centaines de milliers périssent chaque jour de par le monde au nom du ‘libre-échange’ et de la propriété privée, fondements de ‘l’ordre’ et de la prospérité de minorités débauchées, de classes ‘dirigeantes’ rassasiées de superflus et de vanité !

Comédie macabre s’il en est, aucune religion, aucune science, aucune politique n’est en mesure de regarder le moindre de ces faits atroces et de plaider en conscience : non coupable ; aucun pays, dirigeants comme dirigés, ne peut se justifier de n’être pas, aujourd’hui comme hier, responsable de la misère humaine qui se perpétue à la façon de l’hydre, ou pour être ‘moderne’ de clones. Ah ! celui-ci a un palais, celui-là en voudra deux, que ce palais s’appelle Versailles ou Tombouctou. Que les hommes sont stupides, et les femmes pas moins dans cette optique ! Stupides et méchants. Méchants et avares. Avares et lâches, odieux et menteurs, misérables et obtus, et ce qui est plus grave que si c’était leur nature, ils sont tout cela et bien plus volontairement, de leur propre gré, ayant la jouissance d’êtres dépravés, de gens endurcis dans leurs crimes considérant la souffrance de l’autre comme une nécessité à leur propre bien-être.

Fenimore Cooper écrit à la fin de ‘Monikins’ : « Ce n'est pas un signe infaillible de supériorité d'esprit que de décrier nos semblables tandis que toutes nos cordes sensibles vibrent pour nos cochons, nos chats, nos biens et nos pierres. » Puis :  « La nature a créé des inégalités dans les hommes et dans les choses, et les institutions humaines ayant pour but d'empêcher le fort d'opprimer le faible, ergo, les lois se sont donné le mot pour protéger le fort contre le faible; de plus, les lois de la nature ayant fait un homme sage et un autre homme imbécile, celui-ci fort et celui-là faible ... les lois humaines renversent le système, et font de l'imbécile un homme sage et de l'homme faible un homme fort. », et encore : « Lorsque l'esprit s'appuie sur un système vil et dégradant, il ne manque jamais de trouver de bonnes raisons pour le justifier, peu d'hommes étant assez endurcis dans leurs crimes pour ne pas chercher à se tromper eux-mêmes aussi-bien que leurs voisins. ».

L’homme est-il donc une si mauvaise bête ? Je viens d’écrire un petit texte sur le cannabis qui révèle que l’action principale de cette plante sur l’homme est de supprimer les rêves, et donc, d’annihiler l’expression du subconscient, à la suite de quoi j’écris que c’est précisément cet effet que, sans s’en douter, la plupart des consommateurs de marijuana recherchent parce que leur subconscient, ou leur inconscient – je ne suis pas ‘spécialiste’ – les gênent. En quoi peuvent donc gêner les rêves si ce n’est que parce qu’ils sont des cauchemars ? Pourquoi la plupart des hommes auraient-ils des cauchemars au lieu de rêves ? Parce que l’inconscient de l’humanité est malade. Malade d’horreurs, d’exclusion, de perversion quotidienne, de propagande, de … 

Oui, l’homme moderne non seulement porte en lui le fardeau de siècles et de siècles de crimes et de trahisons mais il n’a pas le moindre espoir que sa marche ‘en avant’ apporte une amélioration à ses cauchemars. Le vingtième siècle fut le plus meurtrier depuis l’aube des temps et le vingt et unième est sous la menace constante d’une ‘troisième guerre mondiale, pour l’extraordinaire, et quant à l’ordinaire, il a déjà dépassé tous les précédents millénaires.

La vie de tous les jours est un enfer raisonnable, un dépérissement collectif, un viol habituel des consciences et des corps. La morale est à l’envers, la spiritualité est malsaine, la vie physique est menacée dans ses fondements par le profit, par l’exploitation, par la haine, de haut en bas et de bas en haut. L’homme est en voie de transformation vers une nature dégénérée sous prétexte de science et de progrès « grâce » à la médecine, à la génétique, à l’alimentation, à l’atome … et ce sans espoir même de retour, contrairement à toutes les atrocités des millénaires passés qui pouvaient toujours récupérer d’une peste, d’une guerre de cent ans ou d’une invasion de barbares. Si nous n’avons pas conscience de ce FAIT, pour la majorité d’entre nous, notre inconscient, plus affûté que notre conscient est là qui veille et qui crie à l’aide. 

L’heure des beaux rêves est passé, les abeilles déclinent, les océans sont en voie d’extinction de même que nos espoirs les plus chers, nos songes les plus dorés qui ne seront peut-être plus jamais ceux d’une nuit d’été mais bien d’une nuit d’hiver sans fin. Alors que l’humanité pourrait être à l’aube d’un âge d’or grâce aux inventions si on s’en servait pour le bien, le monde est bien malheureusement au crépuscule de sa chute comme en témoigne la perte progressive de ses racines naturelles et spirituelles. L’homme est sur une pente suicidaire et je ne sais pas, malheureusement, ce qui pourra redresser la barre, dirigés comme nous le sommes par la folie d’une clique de satanistes et plombés par l’inertie du troupeau humain abruti de ses vices qui le rendent de plus en plus obtus et aveugle sur son état physique et mental.

2013/04/30

L'Honneur du Nom


Il n'y a probablement aucun peuple au monde qui n'a pas souffert de l'esclavage des Anglais, ou plutôt peut-être des Anglo-Saxons, si l'on veut se rappeler que c'est la 'Maison de Hanovre' qui a pris les rênes des royaumes britannique (et d'Ecosse) depuis 1714, et ce à commencer par les anglais eux-mêmes, dans l'Angleterre industrielle des 18/19èmes siècles mais surtout en Ecosse et en Irlande ou la pauvreté dépassait parfois celle des pays les plus pauvres.  Au 18ème siècle, alors que les classes dirigeantes, nobles, clergé et bourgeois cèlent les bases d'un pouvoir 'absolu-parlementaire' fondées sur les taxes et l'appareil de justice, l'esclavage pratiqué en masse dans les colonies est représenté à l'intérieur par les domestiques, tant citadins que paysans, qui constituent la majorité de la population, dépassant en cela le reste de l'Europe par la sévérité de cet esclavage légal qui n'en a pas le nom. La main de fer anglo-saxonne a essaimée dans le monde entier, principalement aux USA. En un mot, l'Angleterre est la tête, les US sont le bras de la Pieuvre: les protecteurs de Wagner, de Nietzche, Freud, Marx et les autres, instigateurs des Illuminati, des 'révolutions', des fachismes, concepteurs des armes de destruction matérielle et spirituelle, adorateurs de Walkyries et de bières, héritiers et continuateurs du Saint Empire Germanique 'destiné' à diriger le monde.

Cet Empire dont la façade est l'Empire Britannique, cet 'ordre' originaire d'Allemagne (Wehme, 16th century ...), malgré ses alliances et certaines de ses origines françaises, italiennes (Jesuits), autrichiennes et espagnoles, c'est l'Allemagne. Et c'est l'Allemagne qui dirige l'ensemble, avec le Vatican, puis avec les juifs Allemands qui sont à mon avis pour la majorité de la classe dirigeante au moins, des conspirateurs mais surtout des imposteurs d'origine Khazare. Bref, l'Angleterre est, cent ans avant les USA le premier pion avancé dans l'échiquier mondial par les prédécesseurs de l'empereur Guillaume que Joseph Ehrlich met en scène dans 'Recapturing America'. Prusse, Bavière, Hanovre, Autriche, et leurs satellites anglo-saxons sont avec la famille Rothschild et les papes les racines de l'ordre actuel de la géopolitique mondiale.

Et qu'est-ce que cette ascension vertigineuse à l'échelle des temps géologiques ? C'est la réussite de 'l'honneur du nom' appliquée au pouvoir. L'honneur du nom est la fondation de tous les peuples conquérants. On combat 'au nom de'. Au nom d'un chef, d'un dieu ou d'une illusion. Le combat en 'l'honneur du nom' est éminemment hypocrite car ce nom, n'est qu'un principe, même s'il se voit constamment illustré par des figures humaines de César à Mitterrand ou d'Attila à Hitler, et ce principe est "Dieu et Mon Droit", et ce droit auto-généré est celui de commander, par la voie du 'sang', de l'origine, de la supériorité fabulée de cette origine bien qu'en aucun cas prouvée dans le sens d'un pouvoir exercé au service de ceux qui en ressentent les effets ...

Ce 'droit' héréditaire n'est autre que celui d'un clan, d'une mafia, d'une famille 'prédestinée', d'une famille qui s'est faite idole, qui est son propre but, qui représente la victoire de l'homme sur la génétique, la nature, sur Dieu qu'on a mis dans sa poche et sur l'humanité qu'on peut réduire en esclavage et au besoin supprimer ... sans que personne ne dise rien !! A ce jeux, ils sont tous très forts, quelle que soit leur génétique, d'ailleurs puisque la 'nouvelle génétique est faite de force et de soumission, de férocité et de luxure.
En passant, savez-vous pourquoi les USA (dont on sait d'où viennent les ordres) ont truffé l'Afghanistan de GI's ? Pour que le revenu des dérivés du pavot fassent la loi de la bourse, des finances, des 'hautes sphères' des pays dirigés afin de les faire flotter sur un nuage dirigeable à volonté vers le haut ou vers le bas.

Qui mieux qu'un pouvoir exercé par des drogués - et pour des drogués, et pas seulement de drogues au sens propre, est à la merci de 'l'élite dirigeante' ? Mais c'est un autre sujet ! Donc, depuis Nimrod, comme cela est énuméré dans la Torah, ce sont des générations de Pierre, Paul ou Jacques qui ont monopolisé les trônes, les chaires, les trompettes et leurs partitions.Ce sont des Tudor, Bourbons, Plantagenets, Médicis, Habsbourg, des Rothschild, des Rockefeller, et tant d’autres, et aussi des auxiliaires locaux, dorés ou galonnés, portant décorations, militaires, économiques, scientifiques, cousus de vertus et de 'bonne renommé', sinon de frontons, de noms de rues, de corbeilles fleuries, et de cadavres inconnus, ou si peu connus.

Ils sont fous ces Romains ! Hmmm, pas si fous puisqu'ils ont réussi, n'est-ce pas ? Et tout ça pour 'l'honneur de leur nom', pour Belzébuth, si on veut. Mais réussiront-ils toujours ? On n'espère pas parce que ce qui se prépare via la Syrie, la Corée du Nord, la Chine, et bien des pays qui s'arment, à toute vapeur, même les 'citoyens' aux US, sans compter la CIA, le DHS, la police, à court de munitions, aux US, sans parler de l'Europe, et toujours l'Angleterre qui 'drone' par satellite, et par les bases américaines mondiales, et les siennes propres (les premiers tests sont locaux), et le gibet a tué autant que la guillotine, en plus longtemps, seulement, et souvent moins 'officiellement', quoique l''officiel' ait bien souvent dépassé le partisan , parlons de nos 'temps modernes' de vaccins, de radiations, de poisons 'autorisés', connus et inconnus, déguisés et imposés.

Ah, l'honneur du nom ! On pourrait en rire, tant qu'on en survit, mais c'est sans compter qu'il y en a un autre, d'honneur du Nom. Or, l'homme qui a pendant un temps infime représenté l'honneur de ce Nom a compris qu'a priori, la bataille était perdue, du moins de son temps et de ceux à venir, au moins pour Israel, et en fait pour l'humanité, bataille perdue aussi pour les temps à venir tandis que l'homme a 'marché sur la lune', cherchez l'erreur. Cet homme, Moche, en apercevant la foule des Hébreux retournés à l'état d'esclaves alors qu'un des leurs, lui-même, leur représentant, leur libérateur était assemblé avec Dieu sur la petite montagne d'en face, Moche a brisé les Tables de la Loi pour l'honneur du Nom de Dieu qui ne pouvait être témoin de son peuple se traînant dans la boue, dans l’abomination de l'idolâtrie du nom d'un veau, d'une idole, d'une folie, d'une perversion, d'un néant.

Car, tous ceux qui se mettent des couronnes, qui se brodent des lis, qui portent la balance de leur justice et le glaive de leur loi, que sont-ils vraiment sinon des coupables suprêmes, des traîtres grandiloquents, des imposteurs sanguinaires, des déchets de l'humanité, des pantins infernaux ? Leurs noms, qu'ils impriment en lettres d'argent et d'or sont des mirages, des mensonges, des pièges ... à cons, à déséquilibrés, des alliances de haine, de destruction, des actions guerrières, des exécutions, des tortures, des 'expériences' sur l'homme et la nature, des perversions ‘cachérisées’, brevetées, cotées à la bourse, imprimées dans les coeurs, des fers rouges sur le cerveau, des chaines à la mesure de tous; votez pour eux, donnez-leur vos filles, vos fils, la chair de votre chair, vos vies, vos loisirs, vos plaisirs, mais n'oubliez pas qu'il n'y a qu'un Nom qui puisse faire dire au coq chaque matin, sur son tas de fumier : "Bonjour le soleil, bonsoir les étoiles, je suis Martin, le coq du tas de fumier de la cour de droite, écoutez poules et poussins, faucons et poulains, bêtes et gens, écoutez-tous la voix de la vie qui témoigne de son Créateur, de l'honneur de Son Nom, le seul Nom qui est Qui Il est, et Qui puisse le dire, faut pas mentir !"

*NB L'homme est encore loin du coq, en ce sens, et bien qu'il fasse de grands efforts pour l'imiter, il n'a pas encore -voulu - trouver la bonne recette, semble t-il !

PS Il va de soi que 'l'honneur du nom' de famille est on ne peut plus respectable et admirable tant qu'il est recherché pour sa pureté morale, sa sainteté spirituelle et non pas quand il est utilisé comme une marque de domination, un logo de pouvoir, d'esclavage, de destruction.








Emile Richebourg, 1873






Eugène Sue - 'Les Mystères du Peuple'



Current head of the House of Hohenzollern,
 the former ruling dynasty of the German Empire and of the Kingdom of Prussia,
great-great-grandson and historic heir of Wilhelm II, the last German Emperor and King of Prussia

"Georg Friedrich attended grammar schools in Bremen and Oldenburg and completed his education at Glenalmond Collegenear Perth, Scotland, where he passed his A-levels. Following a two-year stint in the German army, Georg Friedrich studied business economics at the Freiberg University of Mining and Technology."



Glenalmond College is one of Scotland’s oldest and most prestigious public schools. Nestled in the middle of the rolling hills of Perthshire, it costs nearly £24,000 a year to send your child there.
It’s a world where ancient Greek and lacrosse go hand in hand; where Chapel is mandatory six days a week; and where class sizes range from 2 to 20 pupils. But beneath the formality it’s also a place where pupils have their own bar, a sauna and find ways to sneak in cigarettes and alcohol.


 new Water Polo club starting at Glenalmond early 2013



ALLAN LAW – COACH
Scottish Under 16 Boys’ lead coach in 2011, works full time at Glenalmond College,                                Perthshire,Scotland as a Hockey coach for both boys and girls.





The highlight of Hebridean Pursuits Ltd summer adventures. 
The first ever Coasteering Gold Qualifiying Expedition on Mull. The culmination of much planing and organisation with Glenalmond College.


The first ever Duke of Edinburgh's Award Gold Training expedition has just finished. Hebridean Pursuits Ltd suggested this new approach to travelling along the coastline and journeying through some amazing environments a few years ago and Mark Nichols from Glenalmond College jumped on the idea and has made it happen for his school. I was asked to provide the technical training and safety support for the trips.


Glenalmond College's photostream



"One of Scotcland most prestigious and successful schools"




















Just fun video set up isnt'it ?





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Nicholas Biddle admitted this tactic:
"Nothing but widespread suffering will produce any effect on Congress...Our only safety is pursuing a steady course of firm restriction - and I have no doubt that such a course will ultimately lead to restoration of the currency and re-charter of the Bank."

Likewise, the manufactured Panic of 1907 established the Fed under progressive president Woodrow Wilson.

The endgame documentation is CAFR1.com - they own us all (net worth), yet pretend emergency (budget deficit), the better to tax plebes into proper poverty. Any slave master knows: keep them just strong and smart enough to work, but not rebel.

A modern thinktank concluded outright slavery is too much trouble. Wage slavery under we're-here-to-help-you mind control works best. So progressive policy wonking fills our press 24/7/365. It's all bamboozle theater. (Stephen Coleman) the chap hurling charges at Jüri Lina needs to escape the progressivism cult and admit he's been conned by greedy bastards.

A jealousy/snitch culture is another slave mastery imperative. Notice how bankers hide in shadows behind layers of holding firms and front politicians. Meanwhile they teach us to report on one another and submit to massive surveillance apparatus. Classic.




The beginning of Australia under British rule

"Nous primes terre à Sidney et je fus un an avant de me trouver en présence de ma mère. Je ne sais pas quel sera l’avenir de cette contrée, qui semble un bloc de matières hétérogènes pétri au milieu de notre création terrestre, mais j’affirme que le présent est hideux et honteux.
Il y a huit cents lieues du cap York jusqu’au cap Wilson, et nul ne connaît la largeur de la colonie en tirant du rivage vers l’ouest, où les montagnes Bleues ne sont pas une frontière.

L’Angleterre a pris sur la carte du monde, à vue de pays et sans tracer une limite précise, cette immense étendue pour en faire une prison ; elle a rejeté les noirs à l’intérieur où le sol aride et infécond ne nourrit ni ne désaltère l’homme. Partout où il y a une goutte d’eau, un fusil anglais la garde, afin que les anciens maîtres du pays ne viennent point la voler. Il faut que cette eau, refusée à l’homme, abreuve les bestiaux, les chevaux et les moutons de l’Angleterre. Sans eau, toutes ces bêtes qui valent de l’argent mourraient. On trouve des noirs morts de soif sur le sable, mais ces noirs sont des hommes libres, qui par conséquent ne valent rien.
Ils se vengent en assassinant les blancs quand ils peuvent, à l’aide de leurs longs épieux, piquants comme des aiguilles. Les anglais disent que ce sont des bêtes féroces ; ils les chassent à courre bel et bien en cette qualité. Ainsi marche la civilisation. Je me trompe : le dernier gouverneur de Port-Jackson a fait imprimer des Bibles en un langage mixte que ni les blancs ni les noirs ne comprennent, et il a enrôlé ou plutôt ameuté un millier de naturels qui font la chasse aux convicts échappés, afin de les dévorer quand ils les trouvent. Ils ne rapportent que la chevelure et sont payés sur la présentation de cette pièce, à bureau ouvert.

Les femmes ne sont point transportées, sauf de rares exceptions qui semblent réglées par l’arbitraire. Cette énorme étendue de pays manque de femmes, et sans nul doute cette condition particulière augmente la sombre férocité des populations. Les colons, dont le nombre va incessamment en augmentant, sont très-souvent des célibataires aventureux qui viennent tenter un coup de fortune. Il y a néanmoins des pères de famille, mais comme les stations des squatters (on appelle ainsi les fermes et les fermiers) sont disséminées à de larges distances, suivant le cours des rivières, leurs filles et leurs femmes sont perdues pour la société des villes. Nul ne vient là pour y rester. Chacun se hâte d’élever, de tondre ou de tuer ses moutons pour retourner en Europe et vivre en gentleman. Un jupon est une curiosité dans les rues de Sidney, et c’est à Sidney qu’il y a le plus de femmes en Australie.

Pendant mon séjour, il m’est arrivé d’assister au débarquement d’une cargaison de femmes à Port-Jackson. Dans la colonie australienne, il est sévèrement défendu d’acheter de la chair humaine, de frapper et de blasphémer. On vendit toutes ces malheureuses au milieu d’une tempête de jurons et de horions, à la face du soleil, sur le môle même, où le sang ruisselait."
Paul Feval, 'Jean Diable'
*** Must  Read ***


"En m'éloignant des toits fumeux de la ville de Londres pour gagner les champs et les vertes campagnes, cette terre me parut admirable, j'y reconnus la main d'un divin et bienfaisant Créateur, et je n'eus pas de peine à me persuader que celui qui vivait dans la confusion des villes dans le but de changer l'or de la poche de son voisin pour le faire passer dans la sienne, méconnaissait entièrement sa raison d'être. L'image de mon grand-père, qui n'avait jamais quitté Londres, s'offrait à ma vue avec ses inutiles regrets, et je prenais la résolution de vivre en rapports directs avec mes semblables."

"Les Monikins",  Fenimore Cooper