2016/08/19

Certes, je suis bien désolé d'être né homme !



On dit l'homme supérieur aux animaux ... c'est faux. Les animaux ont une âme, une sensibilité, un esprit tout comme nous. De plus, chacun selon son espèce, ils sont bien plus performant que nous, en résistance, en perception, en tendresse, en attention, en force, etc. Seulement, ils sont restés plus spécialisés que l'homme de par leur nature même.

Le seul avantage que possède l'homme, en dehors de son universalité de potentiels est dans la plupart des cas un immense inconvénient: il peut faire le mal. Cette possibilité ne devient une qualité, un avantage que s'il ne le fait pas, et ce n'est malheureusement le cas que pour un homme sur un million.


En général autant qu'en particulier, l'homme méprise son prochain. L'exemple du 'général' est parfaitement illustré par les logos animés de Google comme celui du dessus. Le particulier est encore plus facile à observer ... Marchez sur le trottoir et regarder les personnes que vous croisez, ça fait frémir. Regards hautains, quand on daigne croiser le votre, agressivité, et pour quoi ? Et plus le trottoir se trouve dans un endroit se considérant civilisé, plus l'impression est forte ...

Dédain, supériorité, quelle différence avec la considération qu'on obtient à la moindre rencontre d'un animal, excepté les chiens domestiques qui se sont fait des masques d'hommes ... Arrogance, vanité, superstition, l'homme est vraiment un bien pauvre animal.


Crime after crime ... Telle est l'histoire de l'humanité, et pire, la pente est ascendante, et pire encore, exponentielle ! Ce n'est pas ici l'endroit de dresser une liste mais pour la suite de l'exposé, je tiens à rappeler plusieurs atrocités, parmi tant, qui ont lieu en ce moment même où j'écris ces lignes.

L'Afrique, sur la frontière méridionale du Tchad et du Niger se trouve le lac Tchad, ou ce qu'il en reste, et la ville de N’Djamena, déja de si triste mémoire. Tout autour de ce lac sévit une famine atroce. Des bébés meurent de faim, desséchés de l'intérieur comme de l'extérieur sur les genoux de mères qui ressemblent à des squelettes. Le lac Tchad est juste à l'est de la route des clandestins qui remontent par le Niger en payant parfois 6/8000 euros pour avoir l'espoir d'arriver en Europe, paradis illusoire dont ils ont vu quelques images brillantes sur une télé de quartier au Burkina ou au Mali. La moitié meurent en route, un quart sont enrolés dans des milices locales en Libye ou ailleurs et le reste se noit sur des radeaux sauf une poignée qui finit derrière des barreaux en Italie. Pauvres coeurs, si ils savaient !

Le Moyen-Orient où sévissent des barbares dont les Huns auraient eu honte et que les Nazis renieraient, des diables à l'apparence humaine financés, entrainés, instruits et soutenus par l'Amérique, l'Angleterre et Israël principalement, directement ou"par négligence", deux exemples de véhicules seulement ... Ces diables commettent des crimes plus horribles que tous ceux qui ont vu le jour jusqu'à présent, et ce sont les Anglos-Saxons qui les y poussent, remember Abu Ghraïb ?

Dans le premier cas, l'Afrique, il suffit de voir cette carte des réserves aquifères pour comprendre que le Sahara pourrait être transformé en un grand potager si les puissances occidentales divertissaient un millième de leurs efforts à pomper du pétrole pour pomper de l'eau, et amenaient quelques machines pour faire fructifier le tout au lieu de construire des fusées et des bombes.


Le second cas rejoint le premier en ce sens que ce sont les personnes les plus puissantes du monde qui, au lieu de se servir de leur puissance pour aider les faibles, non seulement les ignorent mais aggravent leur détresse, consciemment, volontairement, diaboliquement.

Eh bien, ce monde sans pitié, sans coeur, sans âme est une malédiction planifiée, voulue et mise en place par des hommes qui, s'ils n'en n'ont plus la qualité en ont encore l'apparence. Eh bien ce monde ne peut permettre à personne de s'y trouver heureux, de s'y sentir chez soi, de se dire que si on ne peut aimer l'homme, on peut toujours aimer Dieu ... Non Mister Henry Makow, dans la situation présente, il n'y a plus d'amour possible, même pour Dieu et si vous êtes un brin anxieux, si vous avez décidé de vivre sans peur et sans reproche, laissez-moi vous dire que moi, j'ai peur. M'enfin, mieux vaut avoir peur des hommes que de Dieu, non ?

Et je n'ai pas tant peur des diables qui cultivent des dollars sanglants que des masses qui se soumettent à leurs programmes de lavage de cerveaux et qui, eux, cultivent leur bêtise comme les premiers arrosent l'oppression. Tous coupables, par action ou par omission.

Et, à l'instar de Yaakov en réponse à Pharaon, je dirai: 
"Il a été court et malheureux le temps de mes années de vie". (Gn 47.9



Le remède : être un imbécile heureux, mais ce n'est pas donné à tout le monde quoique la majorité s'en contente !!


ps: si vous vouliez avoir une idée sur la possibilité des conditions de réalisation d'une société juste et bien-faisante, lisez donc Le médecin de campagne d'Honoré Balzac, et particulièrement les pages 273 à 281.


nb: les quelques exemples de barbarie insérés en liens dans le texte sont une goutte d'eau dans l'océan de boue qui nous submerge, you know ?!

related (among thousands subjects):

America's "humanitarian war" against the world
Uncontacted Tribes facing extinction in massive amazonian forest fires
Infants deeply traumatized by common medical procedures, new study suggests


2016/08/18

Propre et sans tache !!



Que les hommes sont bêtes ... et méchants !!

Le roi dit l'état, c'est moi.

La république dit, l'état c'est vous autres.

les oligarchies disent, l'état c'est nous.

Mais qu'il s'agisse d'une royauté, d'une démocratie ou d'une autocratie, l'état est là qui impose son arbitraire tyrannie.

L'anarchie serait la seule position soutenable si elle n'aboutissait fatalement au nihilisme.

Je dis donc: l'état, c'est Dieu, et les hommes sont ses servants, les servants de la nature, de leur propre nature, dont l'unique tâche est de la rendre propre, en servant Dieu, à se servir eux-mêmes, chacun pris à part et tous pris ensemble ...

Eh, pas le Dieu des religions mais celui des crapauds, moineaux et autres bestioles circulant au gré des moissons du ciel.


Oui, tant que la société se laissera gouverner par un pouvoir humain, quel qu'il soit, prétendant la représenter, nous pourrons dire ...

Avec Fenimore Cooper (Les pionniers):

À LA MÉMOIRE
D’un chef indien
De la tribu Delaware,
Connu sous les noms
De John, de Mohican, de Chingagook
Qui habita ce pays.

S’il eut des défauts, 
Ce furent ceux d’un Indien;
Et ses vertus 
Furent celles d’un homme.


Avec Paul Féval (Le capitaine fantôme):

Antioh avait vieilli Gitana comme don Blas grand d’Espagne. 

Ses vices étaient de la Gitana; sa fierté était d’elle-même. 


Avec Honoré Balzac (La cousine Bette):

Vous avez l’âme meilleure que la conduite et que la parole. 

Dieu vous a donné votre âme, et vous tenez vos idées du monde et de vos passions !



Balzac, Mémoires de deux jeunes mariées

"Sais-tu, mon enfant, quels sont les effets les plus destructifs de la Révolution ? tu ne t’en douterais jamais. En coupant la tête à Louis XVI, la Révolution a coupé la tête à tous les pères de famille. Il n’y a plus de famille aujourd’hui, il n’y a plus que des individus. En voulant devenir une nation, les Français ont renoncé à être un empire. En proclamant l’égalité des droits à la succession paternelle, ils ont tué l’esprit de famille, ils ont créé le fisc ! Mais ils ont préparé la faiblesse des supériorités et la force aveugle de la masse, l’extinction des arts, le règne de l’intérêt personnel et frayé les chemins à la Conquête.

Nous sommes entre deux systèmes : ou constituer l’État par la Famille, ou le constituer par l’intérêt personnel : la démocratie ou l’aristocratie, la discussion ou l’obéissance, le catholicisme ou l’indifférence religieuse, voilà la question en peu de mots. J’appartiens au petit nombre de ceux qui veulent résister à ce qu’on nomme le peuple, dans son intérêt bien compris. Il ne s’agit plus ni de droits féodaux, comme on le dit aux niais, ni de gentilhommerie, il s’agit de l’État, il s’agit de la vie de la France. Tout pays qui ne prend pas sa base dans le pouvoir paternel est sans existence assurée. Là commence l’échelle des responsabilités, et la subordination, qui monte jusqu’au roi. Le roi, c’est nous tous ! Mourir pour le roi, c’est mourir pour soi-même, pour sa famille, qui ne meurt pas plus que ne meurt le royaume. 

Chaque animal a son instinct, celui de l’homme est l’esprit de famille. Un pays est fort quand il se compose de familles riches, dont tous les membres sont intéressés à la défense du trésor commun : trésor d’argent, de gloire, de privilèges, de jouissances ; il est faible quand il se compose d’individus non solidaires, auxquels il importe peu d’obéir à sept hommes ou à un seul, à un Russe ou à un Corse, pourvu que chaque individu garde son champ ; et ce malheureux égoïste ne voit pas qu’un jour on le lui ôtera.

Nous allons à un état de choses horrible, en cas d’insuccès. Il n’y aura plus que des lois pénales ou fiscales, la bourse ou la vie. Le pays le plus généreux de la terre ne sera plus conduit par les
sentiments. On y aura développé, soigné des plaies incurables. D’abord, une jalousie universelle : les classes supérieures seront confondues, on prendra l’égalité des désirs pour l’égalité des forces ; les vraies supériorités reconnues, constatées, seront envahies par les flots de la bourgeoisie. On pouvait choisir un homme entre mille, on ne peut rien trouver entre trois millions d’ambitions pareilles, vêtues de la même livrée, celle de la médiocrité."



2016/08/17

Le monde des valeurs




Henri Makow a écrit un texte qui dit en résumé:
"Aujourd'hui, quand un jeune homme rencontre une jeune fille, ils ne font plus l'amour, ils couchent ensemble".
C'est très juste, comme tous ses écrits contre le féminisme, la perversion des moeurs, le communisme et l'homosexualité.

Cependant, il faut aller plus loin pour tenter d'expliquer cette déchéance contemporaine qui ne date que de cinquante ans !!

                                                                SG-2011

Ce n'est qu'en lisant les textes des romanciers* du 19ème siècle qu'on peut avoir une idée de la différence qui existe entre nous et nos aïeux. On s'aperçoit alors qu'à cette époque, et jusqu'au milieu du vingtième siècle environ, les hommes, les femmes et les enfants étaient profondément différents de ce que nous sommes devenus.

D'une part, l'enfance se passait dans les liens familiaux. La famille avait le respect d'elle-même, les adultes se respectaient eux-mêmes, respectaient les enfants et inversement. L'important de la vie se concentrait sur la cellule familiale. Il existait bien des activités en dehors mais celles-ci ne prenaient jamais le pas sur celles de l'intérieur. Bien sur, les individus n'étaient pas parfait mais leurs défauts mêmes n'altéraient pas les liens entre les éléments d'une famille quoiqu'elle ait à en souffrir.

Un enfant n'était jamais qu'un enfant tant qu'il n'avait pas les moyens de devenir adulte par l'acquisition d'un métier, la volonté et le courage de s'installer hors de chez lui. Jusque là, il restait enfant, c'est à dire étudiant de la vie chez ses parents. Or, ces enfants quelle que soit leur condition sociale et familiale arrivaient à l'adolescence avec une connaissance des valeurs fondamentales de la vie relativement complète et sans illusion. Ils avaient eu l'occasion de se former sur les beautés et les écueils de la vie sociale sans fausses espérances ni mauvais calculs, pour la majorité, car la société était uniformément représentée dans tous ses milieux par les bons et les mauvais côtés des individus.

L'enfant apprenait à juger les hommes car les hommes à cette époque avaient des valeurs morales qui primaient sur les valeurs matérielles. La famille, centre naturel de la représentation de ces valeurs était considérée pour elle-même, pour le rôle qu'elle doit jouer dans l'instruction d'un enfant, tout en ayant je le répète ses défauts inévitables qui pourtant ne détruisaient pas son importance première. Le but, l'accomplissement de ces valeurs, était interne et personne ne songeait à le renier ou à la modifier faute de l'atteindre.


Un des principes de cette vie oubliée était de dire à son enfant, non pas "tu as le droit de ou tu n'as pas le droit de..." mais "tu as le devoir de ...". L'apprentissage était actif et interne au lieu qu'il est devenu passif et externe. Il n'y avait pas de frein à l'imagination ni à la bonne volonté en proposant par des solutions extérieures des chemins tout tracés et des programmes à accomplir. Chaque enfant était libre de s'imaginer son avenir sans aucune limite autre que celle de respecter ses devoirs et sa famille.

En ceci, la société humaine correspondait encore à sa nature en donnant la primauté à ses valeurs et à son noyau vital. Ainsi, un 'petit d'homme' apprenait à devenir un homme par l'exemple de la même façon que les petits animaux apprennent tout de leurs parents et du groupe où ils sont nés afin de devenir des êtres représentatif de leur espèce. En ce temps, on apprenait comment devenir un homme, un honnête homme. Les valeurs étaient celles de la loyauté, de la reconnaissance, de la compassion, du courage, du respect, et, plus que tout, de la reconnaissance de ces valeurs pour ce qu'elles étaient, de leur primauté, et cela même si on les bafouait.

La recherche de la réussite, du plaisir, du pouvoir, de la gloire existait mais ne ternissait pas les valeurs fondamentales. Même si les passions empiétaient ou terrassaient les valeurs, celles-ci n'en disparaissaient pas pour autant. Ce qui faisait de la société un lieu éclairé où chacun pouvait progresser dans tel sens qu'il lui convenait en connaissant la valeur de sa conduite que ce soit dans le bien ou dans le mal. Il est certain que dans ce tableau, les différences étaient grandes et que selon l'environnement social et familial, les enfants recevaient de plus ou moins bonnes valeurs et devenaient des hommes et des femmes plus ou moins accomplis dans leur rôle d'être humain mais le fond du tissus social était malgré tout relativement uniforme de par l'acceptation générale de 'la valeur des valeurs'.

                                                                                                                        SG-2011

Maintenant, vous pourriez penser que le tableau que j'ai tenté bien imparfaitement de la société du 19ème siècle est encore trop rose et vous aurez raison. Mais mon but est principalement de constater que la société est telle que ce que les individus la font, et que ce principe remonte infailliblement à l'éducation des enfants au sein de leur famille originelle d'une part et des valeurs de la société à laquelle ils se trouvent progressivement confrontés car, rien ne sert d'élever un enfant sur des bases saines pour qu'il les rejette à son adolescence afin de suivre les travers d'un environnement en opposition avec les valeurs qui lui ont été inculquées, ce qui est le cas dans toutes les sociétés humaines quelles qu'elles soient.

Dans tous les cas, bien peu sont les parents qui imprimeront à leurs enfants des valeurs supérieures à celles qui prévalent autour d'eux pour différentes raisons dont la première est: "à quoi ça sert ?". Est-il possible et est-il juste d'élever un enfant en chevalier de l'honneur et de la bonté quand il trouvera autour de lui un peuple de traîtres et de lâches ? Le but de l'éducation étant de préparer son enfant à pouvoir trouver sa place dans la société, il serait aberrant de faire des saints qui devront faire leur places parmi des diables. Nous arrivons donc à un paradoxe qui voudrait qu'on réforme la société avant de pouvoir former des êtres humains dignes de ce nom alors que toute tentative dans ce sens, pour peu qu'il y en ai jamais eu, n'a jamais été un succès, sans quoi ... ça se verrait !

Nous arrivons donc fatalement à cette conclusion que je reprend d'un précédent texte que l'écueil majeur qui s'oppose à l'évolution de l'humanité est que: "C'est la société qui fait les hommes au lieu que ce soit les hommes qui forment la société". Est-ce une raison, en notre époque sens dessus dessous pour ne vouloir nourrir son enfant que des fausses valeurs établies sous prétexte que ce sont celles-ci qu'il aura à affronter et donc qu'il devra connaître à l'exclusion des autres ? Certainement non, mais, la tâche devient de plus en plus rude car tout concorde à notre époque à faire de ses anti-valeurs les seuls moyens, non seulement de réussite possible mais d'identification désirable.


NB le titre de ce texte est emprunté au livre d'un philosophe, épistémologue peu connu du début du vingtième siècle, Raymond Ruyer, auteur notamment de La gnose de Princeton.


* Alfred Assolant, Fortuné Du Boisgobey, Ernest Capendu, Eugène Chavette, Henri Conscience, Fenimore Cooper, Alphonse Daudet, Charles Dickens, Honoré De Balzac, Fiodor Dostoievski, Alexandre Dumas, Paul Féval, Emile Gaboriau, Aristide De Gondrecourt, Gontran Borys, Henri Cauvain, Emmanuel Gonzales, Henry Gréville, Jules Mary, Jack London, Auguste Maquet, Pierre-Joseph Ponson Du Terrail, Emile Richebourg, Alfred De Bréhat, Walter Scott, Frédéric Soulié, Eugène Sue, Daniel Defoe, Théophile Gautier, Paul Meurice, Narcisse-Achille De Salvandy, Félicien Mallefille.

// en gras mes préférés ...
(tous disponibles gratuitement en e-books sur Gallica.fr)







2016/08/10

Les Anglais sont des Brutes Incurables ++



J'ai vu beaucoup de peuples dans ma vie.
Mais aucun n'égale la stupidité profonde des Anglais.
Dieu sait pourquoi, quoique j'ai bien des causes à soulever en cette occurrence.

Ce n'est pas pour des prunes que LKJ chante England is a Bitch.

Ma nouvelle voisine est une Anglaise qui est arrivée ici avec une BMW 323 et un chien.
Chien qu'elle laisse seul tous les matins et qui pleure sans arrêt jusqu'à son retour de la plage.

Le jour de son arrivée, vers neuf heure du matin, j'entends ma porte subir un assaut en règle ...
Good gracious me dis-je, qui ose tenter d'entrer chez moi en brisant la porte ???
Je saute de mon lit, car je dormais comme un loir, vu la chaleur  et mes travaux d'écriture, je regarde et vois une petite femme agée s'escrimant, poussant, suant contre ma serrure ...

A ma vue, elle saute sur place, crie "Excuse-me" dix fois et fais une retraite sous mon regard véner ...
Elle avait la clef de l'appartement d'à côté mais le fait qu'elle puisse s'être trompée en voyant que la clef n'allait pas ne lui a même pas effleuré la cervelle.

... Pas un regard, pas un mot d'excuse, nada.

Le lendemain, vers midi, rebelotte, sauf que la porte est ouverte et qu'elle voit l'erreur en arrivant sur le palier ... rire intérieur, passons.

Ce soir, neuf heure 45, je mets de la musique, pas trop fort mais pas inaudible non plus et, grosse pétarade dehors ???
Je sors et vois un feu d'artifice et voila pas que cette Hillary qui s'ignore me harponne et m'enjoint de baisser mon son ...
Not so Madam, il est pas l'heure du couvre feu et c'est pas si fort quoique, si vous voulez, on peut mettre les watts ??

La voila qui s'esbrouffe mais le compte y est pas !
Je m'habille, car j'étais plutôt peu vétu, vu les 35 degrés à l'ombre et je frappe à sa porte ...
God damn !!

"You're threatening me, get away from my doorstep, I'll report on you," and so on.

My goodness, "I only want to talk to you, remind you that your dog ..." No way, stupid, closed as a Lord's gate.

Poor woman, making a fuss of a normal neighbouring event, shaking like a broken bell !

Straight on, je prend ma caisse, fais un demi-tour au frein à main et descend voir le proprio qui a une piscine et un resto un peu plus bas et je lui raconte l'histoire.
Ni une ni deux, il me fait un Raki (anisette), me dis bois un coup, la dame s'en va dimanche, keep cool and don't worry, be happy ...

Greece my friends, no England thanks God.
Les Anglais sont les laquais de l'humanité qui se prennent pour des Lords; pauvre gens.
Ils ont commis les crimes les plus sanglants de l'univers, pire que Hitler, qu'ils ont mis au pouvoir, pire que les islamistes, qu'ils arment et supportent, car leurs crimes se commettent en leur nom sans qu'eux-mêmes apparaissent coupables. Hypocrites, traitres à l'humanité, que Dieu efface votre histoire pour l'éternité !!!


qq ex parmi tant (dans mon autre ordi, des centaines ...):

Irish Slaves – What the history books will never tell you

HRW : Bombs made In UK used against Yemeni civilians



Pour parler un peu des anglais autrement que par une anecdote personnelle, un fait intéressant est qu'ils ont toujours soutenu les dictatures de par le monde tout en se disant une démocratie.

Cependant, l'évolution la plus notable dans cette stratégie eut lieu vers la fin du 19° siècle. Jusque là, ils soutenaient les monarchies européennes, étant eux-mêmes issus de la royauté de Hanovre, dont, soit dit en passant le premier représentant qui coiffa en sus de son titre original la couronne Britannique, un certain Georges - pas de la jungle, était un ivrogne débauché stupide (~~GWB:), donc, les anglais avaient soutenu les monarchies européennes contre la révolution française, puis contre Napoléon mais, quand celles-ci ont commencé avec l'Allemagne à se montrer trop puissantes, elles ont soutenu la France républicaine lors des deux guerres mondiales, puis l'Amérique devenu le tyran mondial et, depuis, à eux deux, ces nations ont favorisé et créé des conflits dans le monde entier jusqu'à financer et armer les principaux groupes terroristes actuels.

Leur intérêt ? Conserver The Pouvoir Absolu. Cependant, ce pouvoir est menacé par l'autre groupe de puissance qu'ils ont dominé et qui est représenté par les anciennes monarchies européennes, la chrétienté catholique et orthodoxe car eux-mêmes sont des anglicans schismatiques, la Russie pour les principaux. Dans le "Nouvel Ordre Mondial, il y a bien deux groupes opposés dont la lutte interne permet d'expliquer bien des événements incompréhensibles autrement, ce dont personne ne se doute et que j'ai expliqué longuement dans mon blog en anglais MfM-News.

En deux mots, les Anglo-Saxons sont alliés à la finance internationale, grandes banques mondiales commerciales, étatiques et institutionnelles, dont Rothschild mais ce n'est qu'un petit composant volontairement mis en avant pour noyer le poisson, ils sont marxistes de principe et satanistes de pratique. Ils s'appuient aujourd'hui sur tout ce qui est réalité virtuelle, déformation de la nature humaine, renversement des valeurs.

Les autres sont des libéraux souhaitant s'appuyer sur l'industrialisme et la chrétienté. Ils tiennent plutôt à s'appuyer sur des valeurs traditionalistes, étatiques, nationalistes. Ils souhaiteraient reprendre le contrôle mondial qui leur échappe depuis environ un siècle car les Anglo-Saxons sont prêt à détruire l'humanité plutôt que de céder leur pouvoir ...

Voila voila braves gens, good day, and think for yourself, it's about time ...





2016/08/08

Enfer & Paradis



ENFER


PARADIS




Salut les enfants !!

il est une heure 44, ah ! 44, et j'écoute Sara Tavares que je viens de découvrir grâce à Dieu !!
je fais cuire des tortellinis à la ricotta et aux épinards après avoir fait cuire des tomates à l'ail et à l'huile d'olive ... /// avec du piment bien sur, comment vivre sans piment ???
Ici c'est Kouberta, près d'Ermioni, Grèce.
L'eau du robinet est chaude et pour avoir de l'eau - tiède, il faut prendre celle du chauffe-eau sans le mettre à chauffer bien sur. 


Ce matin, à 7 heures, j'ai discuté avec mon voisin et ami, pendant une heure. Camara. Un Nègre de Guinée, Guinée Conakri, s'il vous plait ...

Il m'a raconté qu'un musulman a peur de la mort, mais peur, comme vous nimaginez pas !!!
Car, l'Islam professe que, quand on meurt, il faut se réclamer du prophète:
"Dieu" est censé demander au mourant:
- Qui es-tu ? ***
- Quelle est ta religion ? - l'Islam
- Qui est ton prophère ? - Mohammed
- Où est ton lieu de prière ? - La pierre noire de La Mecque

et, si on ne répond pas comme il faut, on reçoit des coups à n'en plus finir ce qui fait que,
tous les musulmans, et les trois quart de l'Afrique ont une peur de la mort qui n'a pas d'égal sur terre !

Quelle folie ...
Bref,

J'aurais aimé faire la transat, et m'arréter au Cap Vert
car là sont des hommes et des femmes comme il n'y en a pas ailleurs, des Africains libres, dans leurs esprit, et j'aurais voulu arriver à la Grenade mais, trop agé, sans moyens, faut pas rêver qu'y disaient mais si, si, si, le rêve c'est la vie, et grâce à internet, et youtube, et google, quoi qu'on on dise et quoique ce soit, nous avons à notre époque la chance invraisemblable de pouvoir appréhender l'humanité où qu'elle soit, et aussi au Cap Vert et le bonheur de pouvoir écouter Sara Tavarès, et bien d'autres, d'aujourd'hui et d'hier comme Mahalia Jackson par exemple, ces étoiles de l'humanité qui font régner le Paradis au milieu de l'enfer ...

Faute d'un peu de Ganja, on se rabat sur un ti punch, citrons verts cueillis sur l'arbre, car l'esprit demande de l'espace, et ce n'est pas les voisins ni les chiens qui hurlent au loin qui aideront ...

Ah, les enfants, le plus dur dans la vie est de garder le sourire, la capacité de rire, de rêver, de savoir choisir le bien, de ne pas s'affoler du mal omniprésent, de la décrépitude de l'homme.
Mais, si d'une façon où d'une autre on arrive à rester éveillé, émerveillé, alors on peut considérer que, grâce à Dieu, grâce au Créateur de la rose et de l'amour, on a su rester vivant car, que demandera Dieu au mourant ???
Es-tu vivant ?
As-tu su garder ton âme de la boue des péchés, de la misère du doute et de la calomnie ??

Ah, lisez Balzac*, jouer de la guitare, fumez des pétards - les hommes car les femmes n'en ont pas besoin, buvez de l'eau et fredonnez des airs de Gospels, vivez, respirez et aimez, car la vie c'est l'amour, la communication entre les êtres, hommes, animaux, plantes, étoiles ...
En dehors de ça, tout est ténèbres, oubli, mort.

Bless !!!

(connexion internet de merde)



Ah, lisez les 40 premières pages de La fille aux yeux d'or, et vous verrez une description faramineuse, fulgurante, époustouflante de Paris au milieu du 19° siècle, description qui est toujours sinon plus d'actualité et qui convient sans aucun doute à l'humanité entière, mis à part les couleurs locales !!!!